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Né le 6 janvier 1975 à Douala au Cameroun[1], Alain Ngann est le fils de Simon Roger Ngann Yonn, ingénieur des ponts et chaussées et de Jeanne Odette Ngo Beng, secrétaire d'administration. Il est le benjamin d'une fratrie de six enfants[2]. Alain Ngann Yonn fait ses études primaires et ses premières années du secondaire à Douala. Il quitte ensuite le Cameroun pour la France où il obtient son brevet au Collège Sainte Barbe et un Bac B au Lycée Honorée de Balzac à Paris. Après son baccalauréat, il s’inscrit à l’École spéciale d’architecture de Paris. Plus tard, il abandonne ses études en France et retourne au Cameroun où il fonde une agence de communication[3].
Carrière
Architecte de formation, Alain Ngann travaille en tant que créatif en agence de communication[4]. En 1998, il crée un studio graphique qui deviendra quelques années plus tard une agence de communication[5].
Photographe autodidacte, Alain Ngann se lance dans le photographie en 2005. Il confie que le déclic s'est opéré en 2005, lorsque Madame le Consule Général du Sénégal à Douala lui prête son appareil photo afin qu'il constitue une banque d'images[5]. En 2006, il se lance dans la photographie publicitaire et se fait remarquer par Marême Malong[6]. Il se fait connaître à travers une campagne publicitaire controversée à Libreville, une affiche publicitaire de 100m2 sur un immeuble abandonné pour le compte d'un opérateur de téléphonie[5].
Depuis plus de 10 ans[Quand ?], Alain Ngann est un photographe professionnel dans le domaine de la publicité au Cameroun. Il a accompagné plusieurs marques et agences dans de nombreuses campagnes publicitaires. Il se spécialise dans la photographie de mode et en particulier de portrait en signant plusieurs unes de magazines internationaux comme Brune[7], Diva et encore South Africa.
Il réalise sa première exposition photo en 2018 intitulée Un-Différence, une exposition photo visant à la sensibilisation sur l'albinisme au Cameroun[3].
En novembre 2023, il expose ses œuvres à la galerie Dupon à Neuilly-sur-Seine en Ile-de-France[8].
Vie associative
Alain Ngann est membre du Rotary Club depuis environs 15 ans. Il a d’ailleurs voulu utiliser son art pour porter ses engagements sociaux et essayer de toucher les sensibilités des uns et des autres. Les questions de diversités demeurent essentielles pour lui surtout dans un pays habité par de nombreuses ethnies; il veut à travers son art prôné l’unité dans la diversité pour le «Vivre - Ensemble». Dans ce sens, il a eu à réaliser une exposition originale dans la mise en avant activités autour de l'albinisme[9].
Expositions
Alain Ngann et ses œuvres participent à des expositions virtuelles ou physiques au Cameroun et dans différents pays dans le monde notamment la France et le Nigeria. Il a à son actif plusieurs expositions personnelles[10]:
2018: Un-Différence, exposition personnelle à la Galerie Mam à Douala[3]
2023: Wè Njè à l'Institut Français du Cameroun de Yaoundé[15]
2023: Alain Ngann à la galerie Dupon à Paris du 30 novembre 2023 au 30 janvier 2024[5]
Références
↑Alain Carou, « Situation de la critique de cinéma en ligne », dans Le texte critique, Presses universitaires François-Rabelais (lire en ligne), p. 393–408
↑Simon St-Michel, « Centre canadien d’architecture, Groupe de recherche sur Montréal (1996-2000), ADHÉMAR : http ://cca.qc.ca/adhemar/, site mis à jour le 2000/03/01 et consulté le 18 janvier 2002. », Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 55, no 4, , p. 636 (ISSN0035-2357 et 1492-1383, DOI10.7202/010456ar, lire en ligne, consulté le )
↑ ab et c« Alain Ngann, le photographe qui rend leur dignité aux albinos », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Alain Gascon, « Table des photos », dans Sur les hautes terres comme au ciel, Éditions de la Sorbonne, (lire en ligne), p. 313–314
↑Douglas Porch, « « Le plus dangereux des intangibles » : le point de vue américain sur l’Afrique du Nord française novembre 1942 », dans 8 novembre 1942, Éditions du Croquant, (ISBN978-2-36512-285-6, lire en ligne), p. 169–178