Il fut précepteur des princes dont Moulay Hassan (future Hassan II) et des princesses au Collège royal après avoir occupé des postes au Méchouar (secrétaire au Makhzen central et juge au Haut Tribunal chérifien)[5].
Ahmed Bahnini fut nommé premier ministre par Hassan II, une semaine avant la promulgation d'un dahir amnistiant et réhabilitant des « collaborateurs » notoires au grand dam des nationalistes. Cet homme, au moment de la déposition de Mohammed V n'avait rien dit et s'était rallié à Mohammed ben Arafa, le sultan placé brièvement sur le trône par les Français[6].
↑« Deux généraux entrent dans le nouveau gouvernement marocain », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le nouveau gouvernement marocain parait viser deux objectifs : la réforme administrative et le développement », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Hassan II met un terme à son expérience de monarchie parlementaire Le gouvernement Bahnini a remis sa démission », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )