Il reçoit en 1940 la médaille Melchett de l'Institut des combustibles britannique[5].
Le la médaille de l'Institut des ingénieurs de mines britannique lui est décernée pour l'année 1950, en reconnaissance de ses contributions vis-à-vis de l'industrie minière, devenant ainsi le second français à obtenir cette distinction[5].
Publications
Étienne Audibert, « Étude expérimentale de la combustion du charbon pulvérisé », Revue de l'industrie minérale, no 73, (lire en ligne)
Étienne Audibert, « Le mécanisme de l'oxydation du méthane », Annales des mines et des carburants, (lire en ligne)
Étienne Audibert, « Le mécanisme des réactions en chaînes et de la combustion du méthane », Annales des mines et des carburants, (lire en ligne)
Étienne Audibert, « Le tir en atmosphère grisouteuse », Annales des mines et des carburants, (lire en ligne)
Étienne Audibert et André Raineau, « L'utilisation du mixte de lavage », Annales des mines et des carburants, (lire en ligne)
Étienne Audibert et André Raineau, « L'effet des tourbillons sur la stratification du lit de lavage », Annales des mines et des carburants, (lire en ligne)
↑« École Polytechnique : Classement par ordre de mérite des candidats qui ont subi l'examen du deuxième degré, au concours d'admission de 1907 », Le Figaro, (lire en ligne)
↑« Le nouveau maire de Senlis », Paris-soir, (lire en ligne)
↑ a et bConseil général des mines, Annales des mines 1951, Paris, Jacques Dumas, , 64 p. (lire en ligne), p. 63