Son talent s'exprime aussi dans la réalisation de paysages bucoliques d'une grande fraîcheur, où il allie la précision des coloris à une évocation exceptionnelle des jeux d'ombres et de lumières. On lui doit ainsi, une Vue prise à Bellevue (1852, musée du Louvre, Paris) et L'Idylle. Il peignit également quelques toiles d'actualité, comme La mort du duc de Berry, le , à l'Académie royale de musique.
Œuvres
La mort du duc de Berry, 1829, Paris, musée Carnavalet
Un Trait de la vie de Frédégonde, 1832, Rouen, musée des Beaux-Arts
La vision d'Ézechiel, 1877, Dunières, église Saint-Martin
Tête de jeune fille, Lisieux, musée d'art et d'histoire
Le Christ et l'Eternel recevant les bienheureux, L'Agneau s'offrant pour racheter le monde, et Les Vertus théologales, Paris, église Saint-Leu-Saint-Gilles
Bibliographie
Matthieu Pinette, « "Anne de Boleyn" par Edouard Cibot », dans La Revue du Louvre, 1983, 5-6, p. 429–430.
Marie Lapalus, Le peintre Edouard Cibot (1799 - 1877), mémoire de maîtrise de l'université de Dijon, 1978.
↑Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.