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Jean-Paul Delevoye (born 22 January 1947) is a French politician.
Political career
After having worked in the food industry, he began his political career as a village councilman in 1974. Since 1982, he is the mayor of Bapaume, a small town in northern France (except between 2002 and 2004).
Between 1992 and 2002, he was president of the French mayors association and a Senator of the Pas-de-Calais départment,[1] before being promoted to Minister of the Civil Service. After two years in the French government, he was appointed the Mediator of the French Republic (Médiateur de la République), his term of office ending in 2010.
It was revealed by the Le Parisien in December 2019, then by Le Monde and Capital, that he forgot to indicate to the HATVP several functions he had in various organisms, some of them paid and illegal under the French constitution, and including some which could be a Conflict of interest with his role in the government.[4][5]
^"Réforme des retraites : Jean-Paul Delevoye démissionne d'une fonction d'administrateur dans le secteur des assurances qu'il n'avait pas déclarée". France Info. 9 December 2019. Retrieved 15 December 2019. C'est un "oubli" dont se serait bien passé le gouvernement, en pleine mobilisation contre la réforme des retraites. Le haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, n'avait pas déclaré sa fonction d'administrateur au sein de l'Institut de formation de la profession de l'assurance (IFPASS) à la Haute autorité pour la transparence de la vie politique (HATVP), comme a pu le vérifier franceinfo sur le site de la HATVP, confirmant les informations révélées dimanche 8 décembre par Le Parisien
^"Jean-Paul Delevoye contraint de démissionner d'un autre poste dans le privé". Capital. 10 December 2019. Retrieved 15 December 2019. Ministre et en même temps président rémunéré d'un think tank ? Malgré sa nomination au poste de haut-commissaire aux retraites, ministre délégué auprès d'Agnès Buzyn, Jean-Paul Delevoye conservait jusqu'à ce mardi midi la présidence du think tank Parallaxe, qui lui versait une "gratification" d'un peu plus de 5.300 euros nets par mois, comme il l'a indiqué lui-même dans sa déclaration d'intérêts et d'activités à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, rendue publique le 7 décembre
^"Jean-Paul Delevoye : le haut-commissaire va devoir s'expliquer sur un quatorzième "oubli"". Sud Ouest. 21 December 2019. Retrieved 21 December 2019. Cette enquête, confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), porte "sur les faits de déclaration incomplète de ses intérêts à la HATVP", mais concerne aussi "les conditions de cumul de rémunération d'un emploi public" – comme membre du gouvernement – "et d'une rémunération privée", en tant que président du think tank Parallaxe, "susceptibles de recevoir la qualification de recel d'abus de biens sociaux", a indiqué le parquet.
^"La démission de Jean-Paul Delevoye fragilise l'exécutif". Le Monde. 17 December 2019. Retrieved 3 January 2020. La situation était devenue intenable. Mis sous pression après la révélation de nouveaux "oublis" dans sa déclaration d'intérêts transmise à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), le haut-commissaire en charge de la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, a finalement présenté sa démission, lundi 16 décembre.