Né le à Farnham[1] (en Montérégie, Québec) Yves Rodier décide, en 1987, de terminer l'Alph-Art inachevé d'Hergé. Il achève son œuvre au bout de cinq ans, un travail qui lui servira de carte de visite et lui permettra de se faire connaître du grand public[2]. Après avoir étudié la musique au secondaire et la réalisation cinématographique au Cégep de Saint-Hyacinthe, il choisit la bande dessinée (et accessoirement le dessin animé) comme occupation à temps complet. En 2015, lassé, il annonce qu'il « arrête la bande dessinée »[3].
Tintin, reporter pigiste au XXe siècle : 6 pages à l'italienne. Pour cette aventure, Yves Rodier utilise un scénario proposé en 1957 aux lecteurs du journal de Spirou pour un concours[5].
Tintin et le thermozéro : 1 page. Il s'agit de l'encrage de la page 4 réalisé à partir d'un crayonné d'Hergé.
Un jour dans un aéroport : 1 page. Yves Rodier avait prévu, une fois sa version de L'Alph-art terminée, de s'attaquer à cette autre aventure inachevée. Devant l'accueil de la fondation Hergé reçu après la sortie de L'Alph-art, Yves Rodier a jeté l'éponge tout en prenant soin de faire l'encrage de la page de son projet la plus aboutie.[réf. nécessaire]
Le Lac de la sorcière : 7 pages
Tintin au Tibet : 1 page (27 bis)
Tim und Struppi pastiches, en allemand
Yves Rodier est l'auteur de nombreux hors-texte, ex-libris et cartes de vœux pastichant Tintin.
Pignouf et Hamlet
La Bande sauvage (Paru en aux éditions Mille-Îles)