Durant les quatre années de la Première Guerre mondiale, elle exerce en tant qu'infirmière bénévole.
Au Japon, où son mari est ambassadeur, elle apporte son soutien à l'Église catholique, notamment en tenant des réunions à l'ambassade au profit de la Croix-Rouge française[2], en communiquant des informations à son frère Wladimir d'Ormesson, ambassadeur de France près le Saint-Siège[3]. Elle est surnommée Zenobie par Kikou Yamata, qu'elle fréquente souvent[4].
Grande voyageuse, elle se consacre également à l'archéologie et à la musique[5], donnant elle même des récitals[6],[7],[8],[9],[10].
↑Le prix Saintour est un prix annuel créé en 1889, décerné à des ouvrages de diverses sortes, « lexiques, grammaires, éditions critiques, commentaires, etc., ayant pour objet l’étude de notre langue, principalement depuis le XVIe siècle jusqu'à nos jours ».
↑Jean-Marie Thiébaud, La présence française au Japon : du XVIe siècle à nos jours : histoire d'une séduction et d'une passion réciproques, L'Harmattan, 2008, p. 169 et 352.