Le site Le Corbusier de Firminy a été construit par Charles Édouard Jeanneret dit Le Corbusier. Le patrimoine Le Corbusier de Firminy-Vert est le plus important site réalisé par l'architecte en Europe et le second dans le monde après Chandigarh situé en Inde.
Eugène Claudius-Petit décide de créer un nouveau quartier avec tout le confort moderne. Ce sont quatre architectes (Charles Delfante, Marcel Roux, Jean Kling et André Sive) qui sont choisis pour réaliser le premier plan d'urbanisme intitulé "Firminy-Vert"en 1954.
Leurs constructions respectent les grands principes de la Charte d'Athènes, dont Le Corbusier est l'un des fondateurs.
Le Corbusier était un très grand ami du maire de Firminy, cette amitié entrainera le maire a l'inviter à dessiner la deuxième phase du nouveau quartier de Firminy-Vert en 1954.
Il plancha sur deux plans d’urbanisme :
le premier, en 1958, était l’élaboration d'un centre civique (stade municipal, maison de la culture et de la jeunesse et l’église) ;
le second, vers 1962, était la réalisation d’un projet de 3500 logements repartis sur trois unités d’habitations. Il prévu aussi des équipements scolaires et commerciaux.
Son domaine skiable s'étend de 1 109 à 1 600 mètres d'altitude sur les pentes de Pierre-sur-Haute, point culminant des monts du Forez (1 634 mètres), et alterne entre forêts et landes sauvages d'altitude (les hautes Chaumes). Il possède 12 kilomètres de pistes de ski alpin desservies par 1 télésiège débrayable à bulles et 7 téléskis et équipées de 90 enneigeurs. Le domaine dispose par ailleurs d'un snowpark et les environs permettent également la pratique du ski de fond (domaine nordique du haut Forez au col de la Loge) et du snowkite. La station propose aussi des activités estivales (parc accrobranche, VTT, balades pédestres via le télésiège).
Chalmazel accueille principalement une clientèle journalière issue de la plaine du Forez et des bassins d'agglomération roannais et stéphanois situés à moins de 80 kilomètres, mais également, dans une moindre mesure, clermontois et lyonnais.
Des origines de Saint-Étienne on sait bien peu de choses aujourd'hui encore. De nombreux toponymes semblent témoigner d'une présence gauloise (Chambon, Guizet, Clapier, Roannelet, Chavanelet, Chavassieux, Creux). Cette présence est en tout cas attestée par l'archéologie le long de l'axe Rhone-Loire (vallée du Gier, Saint-Jean-Bonnefonds sur le site du Colombier, Bouthéon, principalement sur des versants exposés au sud). La capitale du Forez située sur le principal axe de communication entre le Rhône et la Loire garde néanmoins des origines obscures.
L'originalité de l'urbanisme de Saint-Étienne réside dans le développement de formes urbaines originales au XIXe et au XXe siècle, associées à l'implantation de grandes industries.