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Groland

Présipauté du Groland

Drapeau
Emblèmes de Groland
Blason
Drapeau du Groland
Devise Groland, je mourrirai pour toi
Hymne God save the président

Administration
Forme de l'État Présipauté
Président
Premier ministre
Christophe Salengro
M. Pinpin
Langues officielles Français et « Cmenkonkôz » (idiome proche du français)
Capitale Groville

n/c

Géographie
Plus grandes villes Groville, Mufflins
Superficie totale 550 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 km2
(classé n/c)
Superficie en eau Il n'y a que du vin
Fuseau horaire UTC + 1 (été + 2)
Histoire
Indépendance  
  1695[1]
Démographie
Gentilé Grolandais, grolandaise
Population totale (n/c) n/c hab.
(classé n/c)
Densité n/c hab./km2
Économie
Monnaie ACN[2] / Eugro (ACN)
Divers
Domaine Internet .grd
Indicatif téléphonique +n/c

Groland est un État souverain transcontinental dont la France est la caricature la plus connue.

Groland

Géographie

  • Superficie : 5 500 km2. Les zones rurales constituent 90 % du pays. Forêts : 56 % de la superficie (dont 20 % impénétrables et inconnus). Le point culminant est le Mamelon pointu (481,7 m d'altitude).
  • Situation : « kekparparla ». Pays limitrophes : Laos, Suède, Antarctique, Irlande, Angoulême, Pologne, Monaco, ex-URSS, Australie, X (non signalé sur les cartes de l'Institut de cartographie grolandais), Afrique, Maroc, divers, Grèce, Chatuzange-le-Goubet, Canada, Vélizy, Chine, Arctique, Grande-Bretagne, Serbie, Burkina Faso, Japon, France, Corée, Inde et États-Unis.
  • Climat : grolandonnais. Températures moyennes : 21° dans les maisons, 5° dehors par temps calme.
  • Fleuve principal : Le Gro[3]. Affluents : le Petit-Gro, l'Étroit Gro, le Sale Gro, le Gro Pabo.
  • Sites touristiques :
    • église de Mufflins (entrée 100 000 francs lourds) ;
    • grottes de Courson-Les-Carrières ;
    • Fistufle, le village fantôme ;
    • palais de la Présipauté ;
    • musée de l'histoire grolandaise & de la dynastie Salengro ;
    • halles de la baie « Vittré » ;
    • excursion dans la ville voisine de Montembœuf (un paysage admirable) ;
    • gouffre de tatie Gertrude ; droits d'entrée 5 euros, tarif réduit pour la famille Sifredi ;
    • parc d'attractions Veronika-Loubry[4].

Histoire

Des traces fossiles de majorettes (cannes et ossements) ont été découvertes à Courson-les-Carrières, ce qui attesterait de la présence d'une forme d'inintelligence au Groland depuis le Crétacé inférieur.

Le mariage de Christophe Ier et de Helmuth IV en 1299 scelle la fondation de la dynastie des Salengro.

D'abord duché, la petite province, dépourvue de nom, peuplée de barbares hirsutes et païens s'affranchit en 1695 de la domination « austro-boche » selon la formule de l'époque, et se rapproche culturellement de son voisin français. Le nom Groland apparaît officiellement en 1707, après une fête traditionnelle, « la Beuverie », au cours de laquelle, selon la légende, le duc Platisphile Ier de Salengro hurla sur son trône à minuit « Euj fais qu'est ce que je voul, car céans c'est Salengroland ! » L'assistance n'ayant que mal entendu la phrase bafouillée par le Duc ivre mort, en déduit qu'il avait nommé son duché sans nom « Groland », et elle chanta aussitôt à l'unisson « Vive Groland ! ». Envahie par la France sans coup férir, la province acquiert son indépendance en 1858, après le refus de Napoléon III de subventionner plus longtemps un pays inculte et sans valeur stratégique. Grâce à l'influence de Jean-Edouard Trouabal, conseiller de Patimbert II de Salengro, le Groland met en place son régime unique de présipauté, sa constitution ainsi que son système de suffrage unipersonnel, en l'espace d'une mémorable nuit de beuverie, du 13 au 14 juillet 1889 dans le château grovillois du Duc. C'est ainsi que la fête nationale grolandaise a lieu, par une remarquable coïncidence, le même jour que la France, à savoir le 14 Juillet . Ce sera un facteur non négligeable de rapprochement entre les deux pays.

La présipauté de Groland se fédère autour de valeurs communes, symbolisées par sa devise, la suppression des églises et de l'État ainsi que par trois grands principes : « Joie, hospitalité, lâcheté ». Durant la Première Guerre mondiale, le pays, neutre par statut, est un lieu de repos apprécié des soldats permissionnaires de toutes origines, pour ses ressources illimitées en bière à 12° et en prostituées peu farouches. À la mort de Nathanaël IV, président de 1909 à 1942, la petite autocratie change de doctrine. Sous l'égide de Gunthar Ier, sympathisant hitlérien, le pays devient « serpillière », d'après le mot du général de Gaulle. Le pays ouvre alors ses bras à l'envahisseur nazi, qui y trouve plusieurs avantages déjà cités plus haut. Les Juifs et Tziganes cachés dans les campagnes subissent un sort funeste, dénoncés ou jetés dans des fosses à purin dès la mise en place en avril 1943 des décrets racistes de l'évanescent « Ministère des Problèmes eud'Rastaquouères ». Les homosexuels sont eux lapidés à mort ou soumis à des sévices zoophiles immondes avec la complaisance des gendarmes. La gare de Mufflins est un passage obligé pour de nombreux trains allemands, aux marchandises aussi diverses que variées. À l'arrivée des Alliés en 1945, les oriflammes nazis et les décrets inhumains sont brûlés ; les œuvres d'art et l'or de la SS cachés là par les vaincus disséminés dans les campagnes. Ce qui explique pourquoi tous les paysans grolandais ont des tableaux de maître dans leurs salons et une dent en or pour chaque carie. Les Américains sont accueillis à bras ouverts, et, le 10 février 1944, Gunthar Ier finit éventré, écartelé, désossé et brûlé. Lui succède Mami Quéquette comme la surnomment affectueusement les citoyens, qui procède à la « Dératisation ». C'est ainsi qu'en deux jours, trois mille personnes sont massacrées. Les effusions sont stoppées et on fait la paix aussitôt, afin d'éviter le dépeuplement inexorable d'un pays traître à lui-même. Néanmoins, la monnaie locale reste le Reichsmark jusqu'en 1958, d'abord pour « pô embêter les habitants avec un changement eud'sous », dixit Mami Quéquette, ensuite parce qu'aucun pays étranger ne désire engager des capitaux dans l'économie du pays, qui, étrangement, est à la fois vacillante et prospère.

Suite au décès de Mami Quéquette en 1993, Christophe Salengro ôte sa particule et devient Notre Président. Il rénove la fonction, impulse le renouveau du Groland, notamment dans les secteurs technologiques et culturels. On change la musique de l'hymne national pour la rajeunir, la télé par satellite fait son apparition, avec comme chaîne phare CANAL International, clone local de CNN. Le Président accroît également l'influence de la diplomatie grolandaise, mais ses succès économiques restent mitigés. Il doit faire face à la mondialisation, au chômage (25 % de la « population qu'est pas d'vant la télé toutemps »), à l'inflation galopante (200 % par an), et à la fuite des bras (les cerveaux sont peu nombreux dans le pays).

Les grandes dates en résumé

  • 499 : les premiers branleurs.
  • 613 : bataille de Grugny opposant Gontran et Clotaire le Glaireux à la ZAC de Grugny.
  • 1299 : mariage de Christophe Ier et Helmuth IV : fondation de la dynastie des Salengro.
  • 1321 : mariage de Christophe II et Jennifer (bergère à Saint-Troumille). De leur union naissent les jumeaux Christophe III et Kevin.
  • 1340 : mariage de Kevin Salengro avec Thérèse Martin, pharmacienne. De leur union naît Lucien, fondateur de la dynastie des Martin-Salengro, pharmaciens à Mouniac.
  • 1600 - 1952 : développement des affaires, du commerce et de l'import-export. Naissance de la doctrine dite de la « patrie accueillante ».
  • 1803 : vente du territoire de la Louijun aux États-Unis, « dommage, ils étaient fondars ».
  • 1945 : libération de Groville. Le général Salengro lance cette phrase devenue célèbre : « Notre pays accueillant ! Notre pays joyeux ! Notre pays lâche ! Mais notre pays libéré ! »
  • 20 mars 1952 : naissance du président Salengro, descendant de Christophe Ier et digne héritier de la dynastie des Salengro. On lui doit le développement des banques et de la bourse, ainsi que la fondation de la CP (Communauté Paradis) avec la Suisse, Monaco, la Colombie, le Liechtenstein et les Îles Koufoué.

Devise : « Je mourrirai pour toi ».
Langue officielle : idiome proche du français possédant ses propres règles grammaticales, appelé selon les régions « Cmenkonkôz », « lôlangkonpôrle » et « nôtpotouhô ».

Politique

Le régime politique de Groland est une présipauté, régime unipersonnel à responsabilité inexistante où le président à vie est chef d'État. À chaque re-élection présidentielle, chaque Grolandais est libre de se présenter, mais seul notre président a le droit de vote. Les dernières re-élections ont eu lieu en même temps que chez nos voisins français, et le premier tour a révélé la surprise de l'élection de NONO (du parti Bisou Crack Crack). Par conséquent, notre président a du affronter celui-ci au 2e tour, remporté haut la main par notre président sortant (avec 100 % de la voix dans l'urne).

Plus récemment, un nouveau parti politique, le GroDem (Mouvement vaguement démocrate grolandais) a fait son apparition. Ayant pour slogan « Pour qu'la vie elle soye plus belle ! », il compte à ce jour près de 7 860 017 Grolandais à jour de cotisation environ. Sa mesure phare (multiplier le nombre de caméras de vidéo-surveillance par sept) séduit une majorité de grolandais (99,87 %)[5].

Parmi les principaux ministères grolandais, citons le ministère des Alcools forts, le ministère de l'Éducation grolandais (soutien accordé au programme éducatif Les leçons de Toto Caca), Ministère des Gens à compter, Ministère des Problèmes eud'Rastaquouère.

Subdivisions

  • Capitale : Groville (18 999 âmes dont 15 poules, 3,42 moutons, 2,3 vaches, 251 chiens et 1,5 chat)
  • Principales régions : le Groland-du-Haut, le Groland-de-Côté, le Groland-du-Bas et le Groland-de-l'Autre-Côté[6].
  • Principales préfectures : Grugny, Mufflins, Maroufle et Vichumme.
  • Sous-préfectures : Foulnieux, Guingois, Bistouilly, Caillebotte, Chichigneux, Prainpoil, Rigolebaffe, Larfion, Troncquignard-les-Michetrons, Vichebro, arfeuille-les-Riflards, Conchien, Grelon, Cornillard-sur-Flanche et Pleintéilles.
  • Chef-lieux de canton : Glamion, Ranchedard, Etrondy, Vidoncle en Plouviard, Bedrieux-les-Plumeurs, Alizé-sous-Fermière, Starac Ville Nouvelle, Courson-les-Carrières, Travely en-Gûepière, Mouflard, Grottentrou, Pochemocheville, Egrillard et Milico-les-Pleutres.
  • Villages : Bleurilles-sur-Bré, Goulioui, Perdrons-la-Louvrette, Flambant-Lès-Morneau, Vitroux-le-Vieux (dont le maire est un féroce berger allemand nommé Hitler), Bretegneux-le Vieux, Froutard, Moussi-sur-Lès, Facheloire, Fistufle (plus petit village comptant 0 habitant, trois vaches et cinq cochons pour une douzaine de maisons en ruines), Vidouillant-la-Bravarde (« la perle du Bouillandais »), Luchprubenange, St-Jean-les-Trois-Canards (où a lieu une fois tous les Gromanches la coupe du Monde de masturbation assistée par ordinateur - en partenariat avec www.grossesalope.net) et Furoncle-en-Vertom-sur-Souche.
  • Les îles Koufoué constituent un archipel de quatre îles.

Économie

  • Monnaie : depuis 1958, franc lourd (anciennement Reichsmark). Un franc lourd = 100 francs légers. Cours au 1/01/2004 : un FLO = 0,000 58 $ et l'ACN : l'argent de chez nous.
  • PIB : en cours de calcul, paraît-il.
  • Taux de chômage : -7 %.
  • Inflation en 2004 : 43544747483874384748384748378484748374 % (environ).
  • Ressources minières : épuisées depuis 1954.
  • Agriculture : rutabaga, topinambour, perlinpinpin, clous de girofle, gingembre et surtout la subvention de Bruxelles.
  • Industrie : en restructuration permanente, l'industrie grolandaise a du mal à trouver un rythme de croisière. La croissance est d'environ -0,03 % par an (en moyenne depuis 2000) principalement grâce aux producteurs de bière dont la production est destinée à 95 % au marché local. La consommation de bière est en effet de 365 litres 1/2 par an pour chaque habitant, et les brasseurs principaux du Groland assurent une parfaite autarcie dans ce domaine de première nécessité. Même chose pour ce qui est du vin.
  • Le marché des séniors constitue un pan important (30 %) de l'activité : 35 usines à travers le pays, principalement autour de Groville et Mufflins, produisent des quantités non négligeables d'équipements pour personnes âgées et maisons de retraites (sonotones hi-fi, déambulateurs, fauteuils hi-tech, pantoufles, sièges à boules, etc.) De plus, après leur mort, nos chers séniors continuent à rendre de fiers services à la communauté avec leur « petits » moyens. En effet, peu contrariants, grâce à leur faculté d'immobilité, ils servent d'excellents caddies de golf, distributeurs de cacahuètes, épouvantails, ou encore cotons-tiges pour éléphant...
  • Troisième composante importante : le tourisme, qui depuis 1999 est en plein essor, ceci profitant aux structures hôtelières, au petit commerce, mais aussi et surtout à la compagnie aérienne nationale, Grolandair, qui a porté sa flotte à deux avions (des KC-135 réformés de l'Armée française), réaménagés luxueusement, à la place du Tupolev dont l'état ne lui permettait plus d'atterrir dans aucun aéroport, ni d'ailleurs de décoller. Cette embellie a entraîné la création de 52 emplois en 2004, soit 50 % des emplois de l'année.

Démographie

  • Population : en recensement. D'après le ministère des Gens à compter : « alolouche, papudainmion ».
  • 1 enfant par femme à la fois, des fois deux.
  • Blancs : 90 % ; Zimigrés : 9 % ; Neu-neus 1 % ; Vieux : 45 %.

Les plus célèbres citoyens (Grolandais) de la Présipauté sont :

  • Le président Léon Salengro : Président.
  • Jules-Édouard Moustic : Présentateur de JT.
  • Francis Kuntz : Journaliste présipautaire à tendance machiste et fasciste.
  • Michael Kael : Ancien journaliste d'investigation, désormais diplomate.
  • Gustave de Kervern : Journaliste découvreur de talent dans les bars de chez nous.
  • Vincent Marronnier : Journaliste voix-off.
  • Jacky Blangier : comique troupier.
  • Franki Ki : éternel stagiaire de la rédaction.
  • Le professeur Toto Caca : professeur ayant toujours réponse à tout.
  • Carlita : femme du Président, chanteuse.
  • Gérard Dedieu : célébrissime acteur Grolandais.

Plusieurs personnalités ont été faites citoyennes d'honneur du Groland dont :

Culture

À savoir : la langue officielle est le cmenkonkôz, également appelée Iolangkonpôrle ou Nôtpatouhô. C'est un idiome proche du français. L'entreprise grolandaise Grossimil édite des dictionnaires et des manuels d'apprentissage franco-cmenkonkôzeux et cmenkonko-français.

  • Jours de la semaine : lendi, môrdi, credi, joudi, dredi, sadi et gromanche.
  • Mois de l'année : janbier, fébrier, môrs, averile, mê, jouin, jouilléoù, oût, septemb', octob', novemb' et décemb'.
  • Coutumes : le bistro, la pute du sadi et le rien foutre du gromanche, comme des gros manches.
  • Proverbes :
    • « Tempête en décemb', t'en chies en janbier' »
    • « Pâques en novemb', Kanter en décemb' »
    • « Gel en janbier, froid pour les pieds, gel en juin, oh ben putain ! »
    • « Lendemain de fouette, caca qui fête »
    • « Lendemain de fête, bobo-tê-tête »
    • « Canon au balcon, barreau au caleçon »
  • Spécialités culinaires :
    • oreille de porc à la Van Gogh
    • saindoux au vin cuit
    • poitrine de truie sur canapé de truffes
    • langue de dindons à la sauce gingembre
    • épiderme de rat et couilles d'oursins aux amandes
    • lentilles-au-pain
  • Littérature :
  • Musique : les Producteurs de Porc (rock continu) et les MC Warriors (Caillera Productions).
  • réalisateurs principaux du cinéma grolandais : Jean-Martial Plutanfiard, Josse Tatane et Aliénor Vichume.
  • Festival du Film Grolandais
  • Actrices X : Pepita Courgette, Lulu Peugeot et Samantha Cuissouvertes.

Sports

  • Sports principaux : foot, bière, chasse au clown et la « branlette nature ». Cyclisme : La Pédale Grolandaise, seul club affilié à la Fédération grolandaise de cyclisme prend de l'ampleur grâce aux performances de ses grocyclistes : Jeannie Cointreau, Bernard Aviné, Laurent Pochard, Jacques Enquille et Floyd Pastis.
  • Groville est candidate à l'organisation des Jeux olympiques de 2016, après 44 refus[7].
  • Ligue Première de football regroupant 92 clubs qui se rencontrent un peu au hasard en fonction de l'humeur, de la météo, de l'état des pelouses, des autocars et des maillots.
    • Champion 2004 : Foulnieux (29 victoires dont 12 par forfait, 14 nuls, 7 défaites dont 4 par forfait).
  • Union des buveurs de bière : 50 000 licenciés.
    • Champion 2004 : Arnolphe Lebratu (29,5 litres en h 15).
  • Le sport officiel du Groland est le jokari, sport rare qui leur vaut d'être champions du monde.

Divers

Circonscriptions administratives

Système d'immatriculation des automobiles : Sigle GRD + une amphore. Groland du Haut : plaque jaune, 3 chiffres, 5 lettres, une amphore, 75, une lettre. Autres provinces : plaque blanche, 3 chiffres, 2 lettres, 75, suivis du sigle de la circonscription (GDB, GDC, GDAC).

À l'image des États-Unis, chaque province a son slogan inscrit sur les plaques :

  • Groland du Haut : Le pays des nuages gris.
  • Groland du Bas : Le pays où la vie est moins chère.
  • Groland de Côté : Le paradis des chasseurs.
  • Groland de l'Autre Côté : Belles vaches

Religions

Les religions sont interdites, exceptée la religion présipautaire prônant le culte des Salengro et la joyeuse beuverie. On dit que les Grolandais sont de confession présidentielle. C'est une religion polythéiste dont les pratiquants vouent un culte aux dieux cacahuète et tire-bouchon les fondateurs du monde. Depuis quelque temps est apparu une nouvelle religion, la religion chpouit.

Transport

Groland a un grand réseau ferré, et un parc de matériel roulant entièrement conforme aux normes grolandaises.

Le service est « assuré » par la Société privatisée des chemins de fer grolandais (SPCG).

Défense et diplomatie

Forces armées

L'armée grolandaise compte trois armées : Air, terre et mer. L'armée de Terre se compose d'une division de dix hommes. Côté équipements, un fusil pour deux hommes, un camion pour dix hommes, un char pour 100 et un avion pour tout le monde. L'armée de l'Air se limite à un avion de reconnaissance sans pilote et un Falcon pour la fuite du Président et de son cabinet. L'armée de mer est constituée de trois torpilleurs échoués depuis 1974.

Le service militaire est obligatoire pour les hommes et les femmes. Il faut se rendre tous les ans depuis l'âge de 18 ans jusqu'à 65 ans aux JGROPD (Journées des Grolandais de préparation à la Défaite). Activités : visionnage de films de guerre, QCM, parcours commando de 50 mètres, marche au pas de l'oie sur 100 mètres, tir aux poulpes, séries de pompes, corvée de chiottes, apprentissage de l'hymne God save the President ainsi que du chant populaire la Retraite en chantant mais encore utilisation du drapeau blanc pour les hommes et comment coucher avec l'ennemi pour les femmes.

Alliances connues

Irak : la présipauté du Groland aurait signé il y a très longtemps une alliance avec l'Irak, enjoignant d'attaquer immédiatement le pays qui oserait s'attaquer à ce pays du Moyen-Orient. Le traité ayant été mis au jour quelques heures après la déclaration de guerre des États-Unis en 2003, il a causé une grosse frayeur au président Salengro, qui a toutefois préféré s'asseoir sur ses engagements passés.

Communauté économique GroCu : fruit de l'association entre Groland et Cuba. Les pays de l'amphore et du cigare ont décidé de s'unir pour un libre échange entre leur deux pays. Lors d'une intervention télévisée solennelle, not'président Salengro a enjoint la France de venir adhérer au GroCu car « eul pays du fromôjkipu » était dans une mauvaise posture après son refus de la Constitution européenne.

Groland et la France

Mais il faut être honnête, cette caricature est trop caricaturale. Groland est moins pire qu'on le dit par rapport à la France.

Groland et les Français

  • Groland fait partie des attrape-nigauds de Canal. C'est rigolo et c'est en clair. Comme les guignols de l'info. Mais 97 % des Français croient qu'il faut s'abonner à Canal pour recevoir ces émissions. Quand ils se sont abonnés ils la recoivent aussi, forcément, et ne s'apercoivent donc pas de l'arnaque.
  • Groland, pour les Français, c'est la parodie d'un autre pays, où les habitants sont beaucoup moins intelligents qu'eux, c'est dire si le choix est grand.
  • La seule différence entre Groland et la France, c'est qu'en France tout le monde a le droit de voter, même le Président. La majorité des Français le regrettent et pensent qu'à part quelques exceptions, ceux qui ne pensent pas comme eux ne devraient pas voter.
  • Un autre différence entre la France et le Groland. En France, le niveau d'intelligence moyenne reste constant mais la population augmente.

Notes et références

  1. Une soirée de partouze mémorable entre Grolandais abusés sexuellement par des soldats germaniques, chiens, chevaux et plantes vertes.
  2. Argent de chez nous
  3. Le Groland a le Gro comme fleuve. La France n'a pas de fleuve mais de petits ruisseaux qui font des grandes rivières de diamants de Bokassa.
  4. Dans le parc d’attractions Veronika-Loubry, les manèges sont fixes : ce sont les parents qui tournent autour.
  5. La tradition veut que chaque année, au mois de janbier, le Président et ses ministres se doivent de traverser le Gro à la nage. Les tire-au-flanc sont emprisonnés à Salengro VII pour de nombreuses années.
  6. On voit qu'avec cette subdivision en quatre régions, le Groland est une terre de fracture sociale. La France ne connait pas de fracture sociale. Il n'y a que son président qui en parle, avant ses élections.
  7. À moins qu'il ne s'agisse d'une légende urbaine.

Voir aussi

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Liens externes

Comment s'abonner à Canal

Sites grolandais

Articles connexes