Une association loi de 1901 avait été créée par des personnes ayant travaillé sous contrat TUC, dans le but de faire reconnaitre des droits à la retraite pour ces périodes de travail : « TUC, les oubliés de la Retraite »[6],[4],[7].
Bernard Gomel et Emmanuelle Marchal, Les différentes formes d'utilisation des TUC, Paris, CEE, coll. « Dossier de recherche » (no 14), , 39 p. (BNF34889845).
Nicolas Schmidt et Danielle Keyriel (collab.), Les Travaux d'utilité collective : Des tâches multiples dans un dispositif mouvant, Paris, CEE, coll. « Dossier de recherche » (no 20), , 56 p. (BNF34951599).
Nicolas Schmidt et Emmanuelle Marchal, « Les travaux d'utilité collective », La lettre d'information du CEE, no 8, , p. 1–8 (HALhal-02127197).
Bernard Simonin, Bernard Gomel et Nicolas Schmidt, Un bilan de l'évaluation des TUC : Une illustration du rôle ambigu de l'évaluation dans la formation des opinions et dans la prise de décision, Noisy-le-Grand, CEE, coll. « Dossier de recherche » (no 49), , 203 p. (BNF35693160).
Nicolas Schmidt, « Les travaux d'utilité collective : Évaluations et évolutions », Revue française des affaires sociales, vol. 42, no 3, , p. 49–62 (HALhal-03649509).
Jean Villalard, « Les TUC : Dans quels organismes ? Pour quels travaux ? », Travail et Emploi, DARES, no 26, (lire en ligne).
Michel Sérac, Têtes de TUC : Nouveaux chantiers de jeunesse, main-d'œuvre à bas prix : les “stages” pour jeunes, Paris, Selio, , 187 p. (ISBN2-906981-11-7, lire en ligne).