Fils de menuisier, Thierry Kuhn est engagé dans l’associatif et l’humanitaire depuis l’âge de 18 ans. Il a effectué de nombreux séjours dans les bidonvilles de Calcutta et fut membre du mouvement Attac à sa création. Ancien comptable, il dirigeait Emmaüs Mundolsheim où il a fait ses premières armes en 2006, et occupe à plein temps les fonctions de directeur du chantier d’insertion[1].
Thierry Kuhn a été nommé président d'Emmaüs France en [2]. Après deux mandats, il quitte ses fonctions comme le prévoient les statuts d'Emmaüs France et est remplacé par Hubert Trapet en [3].
Il est à l'origine de la première structure d'insertion en détention à Oermingen (67), devenue modèle national [4]
Il participe, en tant qu'ambassadeur de l'économie circulaire à l'élaboration de la feuille de route économie circulaire. La loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire est promulguée le [5].
En 2020 il crée dans la Vallée de la Bruche la ferme solidaire de Benaville https://g.co/kgs/oQB9eDz.
Prises de position
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En , Thierry Kuhn déplore « l’échec des politiques successives en matière de migration. »« On est principalement sur des solutions sécuritaires. » et constate : « On est en 2015 et on a des bidonvilles dans notre pays. Or notre pays n’a jamais été aussi riche »[6].
En , pendant la campagne présidentielle, il lance, avec Nicolas Hulot, l'appel des solidarités[7], suivi par 120 associations.
↑« Hubert Trapet, ex maire de l’Yonne, a été élu président d’Emmaüs France », France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (lire en ligne, consulté le )
↑Jean-Baptiste Jacquin, « Le gouvernement veut développer plus largement l’insertion par l’activité économique en détention », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).