Dans une ville cossue du Connecticut, un groupe de jeunes lutte pour survivre et recréer une société, après avoir été mystérieusement transportés dans ce qui semble être une reproduction de leur ville coupée du monde et sans aucun parent ni autre adulte.
Le , Netflix annonce le renouvellement de la série pour une deuxième saison, prévue pour 2020[4]. Néanmoins, le tournage est repoussé en raison de la pandémie de Covid-19, ce qui pousse le service à revenir sur sa décision et annoncer l'annulation de la série le . Dans un communiqué, Netflix dévoilera que la difficulté à réunir les nombreux acteurs de la série ainsi que l'augmentation du budget en raison des précautions à prendre à cause du virus sont les raisons qui ont entraînées cette décision[5].
Choix des interprètes
En , il est annoncé que Kathryn Newton est engagée en tant qu’actrice principale[6].
La grande sœur d’Allie, la première dirigeante de la ville de New Ham. De nature directive elle est rapidement en conflit permanent avec d'autres personnages, notamment avec Harry.
La sœur de Cassandra. Elle est secrètement amoureuse de Will au début de la série. Elle est très fidèle à elle-même et ne laisse personne lui dire quoi faire.
Un personnage fier et imbu de sa personne à cause de sa popularité et de celle de ses parents. Il est riche et possède beaucoup de biens (ou ceux sont plutôt ceux de ces parents).
Une jeune femme qui veut aider les autres et qui cherche à améliorer les conditions de vie dans le nouvel environnement des adolescents. Au début de la série, elle entretient une relation avec Harry.
Frère de Sam et cousin de Cassandra et Allie, il a été diagnostiqué à son plus jeune âge d’un désordre mental. Il s’intéresse vite à Elle et s'en prend physiquement à elle.
Le site agrégateur de revues américain Rotten Tomatoes obtient un niveau de confiance d'au moins 60 %[11]. L'autre site de référence mondiale dans l'agrégation de revues Metacritic lui donne la note de 68 sur 100 pour quatre critiques, « généralement positives »[12].
Charles Martin du magazine Première souligne que c’est « un drama adolescent, politique et mystérieux, incarné par une excellente distribution »[13].
Le Parisien remarque que « le premier épisode de The Society est poussif et pose le cadre de la série de manière un peu brutale. L’intrigue, très librement inspirée du classique littéraire Sa Majesté des mouches de William Golding, s’améliore ensuite au fil des différents volets[14] » et Pierre Langlais dans Télérama qu'« un premier épisode qui frôle le ridicule, et qui ne donne guère envie de voir la suite. Et pourtant, la suite est de meilleure facture, plus posée, plus proche de ses personnages, capables de bonnes idées (…) et de développer des réflexions pas inintéressantes (…) sur l’identité, la démocratie ou les rapports entre femmes et hommes. (…) Mais ce qui aurait pu être une catastrophe s’avère finalement un drame ado honorable, qui a le bon goût de laisser à la marge son côté fantastique déjà vu pour exploiter ses jeunes héros[15]. »