C'est le deuxième long métrage de la réalisatrice, après le très remarqué Mister Babadook, sorti en 2014.
Synopsis
En 1825, Clare, une jeune Irlandaise, poursuit un officier britannique à travers la Tasmanie pour se venger d'actes de violence qu'il a commis contre elle et sa famille, avec pour seul guide un aborigène[2].
Pour Véronique Cauhapé du Monde, « il faut reconnaître que le deuxième long-métrage de Jennifer Kent parvient à révéler toute sa puissance, même sur plus petit écran. Une puissance qui amène le spectateur à une expérience physique (et mentale) d'une rare intensité. »[6].
Pour Olivier De Bruyn des Échos, « Cette fiction impressionnante et hypnotique mérite d'être découverte. [...] The Nightingale, en slalomant entre western contemplatif, fiction politique et précipité existentiel, impressionne grâce à sa poésie noire et à sa radicale singularité. »[7].