Ayant fui la guerre, une famille syrienne entreprend un éprouvant périple pour rejoindre la Suède. À la frontière entre le Belarus et la Pologne, synonyme d'entrée dans l'Union européenne, ils se retrouvent embourbés avec des dizaines d'autres familles, dans une zone marécageuse, à la merci de militaires aux méthodes violentes. Ils réalisent peu à peu qu'ils sont les otages malgré eux d'une situation qui les dépasse, où chacun - garde-frontières, activistes humanitaires, population locale - tente de jouer sa partition[1].
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
Production : Marcin Wierzchoslawski, Fred Bernstein, Agnieszka Holland, Maria Blicharska, Damien McDonald, Sarka Cimbalova, Diana Elbaum, David Ragonig
Production exécutive : Mike Downey et Jeff Field
Sociétés de production : Metro Lato, Blick Productions, Marlene films, Beluga Tree
Société de distribution : Condor Entertainment (France), September Film (Belgique), trigon-film (Suisse)
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Distribution des rôles
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Tournage
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Accueil
Le ministre polonais de la justice, Zbigniew Ziobro, compare Green Border à de la propagande nazie, comme du temps où « les Allemands, durant le IIIe Reich, produisaient des films de propagande montrant les Polonais comme des bandits et des meurtriers ». La réalisatrice, Agnieszka Holland, devient la victime d'une campagne de haine, et d'attaques antisémites. Elle envisage d'attaquer en justice le ministre[5]. Les comédiens du film sont également pris à partie[6]. Le film est instrumentalisé par le parti conservateur PiS lors de la campagne électorales de 2023[2].
Amnesty international décerne un coup de cœur au film[7].
Accueil critique
En France, le site Allociné propose une moyenne de 3,5⁄5, d'après l'interprétation de 28 critiques de presse[8].
↑ a et b« 80ᵉ Mostra de Venise : à l'issue d'une édition décevante, Yorgos Lanthimos remporte le Lion d'or avec ses Pauvres Créatures », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« En Pologne, la cinéaste Agnieszka Holland victime d’une déferlante de haine », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )