Les 500 Taloki résident sur la côte Nord-Ouest de Buton, dans une région où la langue muna domine. Ce qui impose une situation de bilinguisme à cette petite population[2]. À l'époque portugaise, les Tolaki s'étaient réfugiés plus au Sud[3].
↑Le taloki ne doit pas être confondu avec le tolaki, appartenant à la même famille de langues.
Sources
(en) Adelaar, Alexander, The Austronesian Languages of Asia and Madagascar: A Historical Perspective, The Austronesian Languages of Asia and Madagascar, pp. 1-42, Routledge Language Family Series, Londres, Routledge, 2005,. (ISBN0-7007-1286-0)
(en) Mead, David, Proto-Bungku-Tolaki: Reconstruction of its Phonology and Aspects of its Morphosyntax, Thèse, Houston, Rice University, 1998.
(en) Mead, David, Mori Bawah, The Austronesian Languages of Asia and Madagascar, pp. 683-708, Routledge Language Family Series, Londres, Routledge, 2005, (ISBN0-7007-1286-0)