En 2007, afin de pallier les unions libres et conjugales, elle initie les mariages collectifs au Cameroun[8].
Bien avant ces mariages, elle a eu à organiser des séminaires qui entretenait les futurs époux sur les aspects juridiques, sociologiques et psychologiques du mariage[9].
Sa lutte contre les mutilations génitales la conduit dans les régions septentrionales où elle inaugure plusieurs centres de promotion de la femme et déplore l’action des exciseuses qui par la suite déposent les lames[10].
Controverse
Officiellement Suzanne Bomback est décédée d'un cancer du sein[2]. Mais sa famille directe pense que sa mort serait d'ordre mystique. D'où la plainte déposée à la brigade de la gendarmerie de Nkolbisson, par son fils aîné et son ex-secrétaire. Leur argumentaire se fonde sur les aveux publics de certains suspects, résidents du village Nkolkumu, où vivait la défunte[11].
Notes et références
↑ a et bDieudonné Tahafo Fonguieng, Histoire des Femmes célèbres du Cameroun, p. 51
↑ abc et dEric Elouga, « Suzanne Bomback est morte », Cameroon Tribune, (lire en ligne)
↑ a et bDieudonné Tahafo Fonguieng, Histoire des femmes célèbres du Cameroun, Yaoundé, Cognito, , 178 p. (ISBN9956-412-01-5, ediprint@epostes.com), p. 50-52
↑Narcisse Mouelle, « 50 visages féminins de la politique au Cameroun, Suzanne Bomback, conseillère municipale à la CUA Yaoundé V », Amina, , p. 66A4