Spécialiste du XIXe siècle, Stéphanie Sauget a orienté ses recherches sur l'histoire des espaces sociaux, en traitant particulièrement des gares et des chemins de fer dans l'Europe de l'industrialisation. Elle travaille aussi sur l'imaginaire de cette époque, à travers les représentations des mythes[5], des légendes urbaines[6], comme les vampires ou les maisons hantées[7]. Enfin, conjuguant tous ces thèmes, ses recherches portent sur les lieux, vus à la fois comme des révélateurs sociaux et culturels mais aussi comme des laboratoires et des matrices de représentations et de comportements[8].
Principales publications
À la recherche des pas perdus : une histoire des gares parisiennes au XIXe siècle, Paris, Tallandier, 2009.
Histoire des maisons hantées : France, Grande-Bretagne, États-Unis (1780-1940), Paris, Tallandier, 2011.
↑« « Le Cercueil de verre du Père-Lachaise », de Stéphanie Sauget : la chronique « histoire » de Roger-Pol Droit », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Nicole Edelman, « Stéphanie SAUGET, Histoire des maisons hantées. France, Grande-Bretagne, États-Unis – 1780-1940, Paris, Tallandier, 2011, 269 p. (ISBN978-2-84734-679-4) », Revue d'histoire du XIXe siècle. Société d'histoire de la révolution de 1848 et des révolutions du XIXe siècle, , p. 185-187 (ISSN1265-1354, lire en ligne, consulté le )