Sourdon

Sourdon
Sourdon
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Jacky Szyroki
2020-2026
Code postal 80250
Code commune 80740
Démographie
Population
municipale
328 hab. (2021 en évolution de +8,97 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 39″ nord, 2° 23′ 54″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 149 m
Superficie 5,12 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Sourdon
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Sourdon
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Sourdon

Sourdon est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

Localisation

À une dizaine de kilomètres au nord-est de Breteuil, le village est à plus de vingt kilomètres au sud-est d'Amiens.

Communes limitrophes

Rose des vents Louvrechy Thory Rose des vents
Chirmont N
O    Sourdon    E
S
Esclainvillers Grivesnes

Sol, sous-sol, relief, hydrographie

Le territoire est composé des couches argileuses du fertile limon des plateaux. Le village a été estimé, à tort, à une époque, le plus élevé de Picardie[1].

La nappe phréatique utilisée par les habitants en 1899 était alors située à 80 m de profondeur. Les eaux de ruissellement empruntent majoritairement le vallon d'Ainval et rejoignent l'Avre à Braches[1].

Hydrographie

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Sourdon[Note 1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 697 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

Typologie

Au , Sourdon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,6 %), zones urbanisées (8,4 %), forêts (6 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)[13].

Toponymie

Parmi les formes anciennes, il est relevé, entre autres, Surdon en 1105, Surdu en 1164, Sordon en 1234 et Sourdon en 1258.

Le nom du village pourrait venir du mot celtique dun, signe d'une situation élevée[1], la motte fortifiée, le lieu sûr[14].

Histoire

Préhistoire et antiquité

Des silex taillés et des poteries anciennes ont été découvertes sur le territoire.

Une voie romaine traversait le village[1].

Moyen Âge

Au nord-ouest du village une importante muche a été relevée. On la dénommait localement sous l'appellation fort et elle aurait servi de refuge lors des guerres[1].

Dès 1105, le village a son église. Elle est remplacée au XVe siècle par un autre édifice caractérisé par ses sculptures de têtes grotesques[1].

Temps modernes

En 1568, le village, possédé par le prince de Condé, est confisqué pour cause d'hérétisme[1].

Lors de la guerre de Trente Ans, en 1636, quand les Espagnols brûlent le village et l'église, les religieux bénédictins de l'abbaye Saint-Vaast de Moreuil sont les représentants locaux du clergé[1].

Sous Louis XIV, la chapelle Saint-Aubin est érigée[1].

Les lieux-dits la justice, vers la Justice, le fief Torlier rappellent l'administration féodale[1].

En 1680, le village a déjà son école[1].

Les familles Pingré, Le Boucher et de Mailly détiennent la seigneurie de 1710 à la Révolution française[1].

Première Guerre mondiale

Le village subit d'importantes destructions pendant la Première Guerre mondiale[15],[16],[17]. Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

Seconde Guerre mondiale

Lors de la bataille de France, le , une unité du 78e régiment d'infanterie repliée dans les abords du village, attaquée par les éléments blindés allemands, contre-attaque à deux reprises avec l'appui de six chars[19].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-sur-Noye[20], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité

La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [21], et qui succédait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au District du Val de Noye, créé en 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[22], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[23],[24]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[25] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [26] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [27], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1892 1913 Ulysse Flament Rad. Agriculteur
Canton d'Ailly-sur-Noye (1900 → 1913)
Décédé au cours de son mandat le 22 juillet 1913, à l'âge de 71 ans
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 2014[29] M. Claude Ennecent    
2014[30] En cours
(au 8 octobre 2020)
Jacky Szyroki   Retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 328 habitants[Note 3], en évolution de +8,97 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
323296320327324296296318307
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
292296320301290251280284264
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
258254242225270270224237241
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
244225243267264257278281289
2017 2021 - - - - - - -
325328-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

En 2011, la commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal réunissant 9 communes. La maternelle se situe à Quiry-le-Sec et Coullemelle ; les classes élémentaires à Grivesnes et Sourdon. Les collégiens se rendent à Ailly-sur-Noye, Montdidier et Moreuil et les lycéens vers Montdidier et Amiens.

En 2024, seules les communes de Coulemelle, Grivesnes, Quiry-le-Sec et Sourdon possèdent une école. Le RPI accueille 120 élèves ; la cantine est rénovée dans la salle des fêtes de Coullemelle[36].

La communauté de communes gère la compétence pour les transports scolaires.

Manifestations culturelles et festivités

Le Marché médiéval de Saint-Aubin, dont la 15e édition organisée par le comité des fêtes a eu lieu le week-end des 4 et , ainsi que le trail de la Bête, inspiré d'une légende médiévale et organisée par l'association Gravity running expérience.

Le marché médiéval marque désormais le début de la saison des festivités dans le Val de Noye[37],[38].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Elle a conservé l'autel en bois peint du XVIIIe siècle[41] et contient un panneau d'oraison à Saint-Aubin en bois peint du XVIIIe siècle[42] ainsi que des statues d'art sacré du XVIe au XVIIIe siècle[43],[44],[45],[46].
  • Chapelle Saint-Aubin. En brique et pierre, couverte en tuiles, elle date de 1675[14] et contient un Christ de pitié en pierre du XVIe siècle[47].
  • Ecce Homo, dans une chapelle fermée par une simple barrière. Elle contient un Christ aux liens[14].
  • Patrimoine industriel : l'ancienne briqueterie Tattegrain Douvry, rue de Breteuil, construite au milieu du XXe siècle avec son four Hoffmann. Elle occupait 6 salariés en 1962 et a fermée au début du 3e quart du XXe siècle[48].

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

Notes

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Sourdon » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. a b c d e f g h i j k et l Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, Julien Robillart, 1899, archives départementales de la Somme.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sourdon et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sourdon ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  14. a b et c André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 212 (ASIN B000WR15W8).
  15. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Sourdon. La grand'rue », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Sourdon. Place de l'Église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  19. Historique du 78e régiment d'infanterie pendant la guerre 1939-1940, Charles-Lavauzelle & Cie, imprimeurs, Paris-Limoges-Nancy, 1er trimestre 1956, pages 64 à 66.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  22. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  23. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  25. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  26. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  27. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  28. « Les maires de Sourdon », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. « Claude Ennecent quitte la mairie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après 43 ans en tant que conseiller municipal et 25 ans dans le siège de maire, Claude Ennecent a annoncé avec émotion qu'il ne serait pas candidat aux prochaines élections municipales ».
  30. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. « Jacky Szyroki, le maire de Sourdon souhaite repartir en 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « La cantine complètement rénovée », Courrier picard,‎ , p. 12.
  37. « Un trail légendaire en préparation : Le club Gravity Running Expérience proposera samedi 5 mars un parcours basé sur une légende du Moyen Âge à Sourdon, près d'Ailly-sur-Noye. Tout sera fait pour mettre les participants dans l'ambiance… », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Patrick Ttrantan, « Marché médiéval et trail lancent la saison à Sourdon : Le 15e marché médiéval a lieu samedi 4 et dimanche 5 mars, sans oublier le trail de la bête sauvage », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Sourdon, d'après nature, 13 juin 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. Section photographique de l'armée, « Photo : Sourdon. L'église ; façade principale », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  41. « Autel orné d'une colombe sur le devant », notice no PM80002312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « Panneau d'inscription : Oraison à saint Aubin », notice no PM80002313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Statue : saint Antoine », notice no pm80002311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM80002310, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. « Statue de saint Aubin en évêque », notice no PM80002309, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  46. « Statue de saint céphalophore, saint Firmin, sur socle armorié », notice no PM80002308, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  47. « Statue : Christ de Pitié », notice no PM80001317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  48. « Briqueterie Tattegrain Douvry », notice no IA00076650, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.