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Singaravelou, qui est un des rares Français à n'avoir pas de prénom[1], est le père de l'historien Pierre Singaravélou[2].
Il est aussi le père de l'anthropologue Laure Singaravélou-Manicom, sa fille aînée.
Formation
Il est agrégé (1969)[3], docteur (1974)[4] et docteur d'État en géographie (1979)[5].
Quelques aspects de la criminalité dans les populations indiennes de la Caraïbe au 19e siècle, Pointe-à-Pitre, Centre d'études et de recherches criminologiques, 1976.
De l'Orénoque à l'Amazone : études guyanaises, avec Jean-Pierre Chardon et Michel Petit, Talence, Centre d'études de géographie tropicale, 1978.
Les Indiens de la Caraïbe (dir. Guy Lasserre), Bordeaux, 3 volumes, 1979.
Conditions économiques, mœurs et coutumes jusqu'aux années 1980, 1987.
Croissance démographique et intégration économique des Indiens depuis 1945, 1988.
Tradition et modernité, contribution à la géographie de l'adaptation socio-culturelle, 1988.
La Deuxième République malgache, Talence : CEGET ; Aix-en-Provence, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 1989.
Pauvreté et développement dans les pays tropicaux : hommage à Guy Lasserre (dir.), [Talence] : Centre d'études de géographie tropicale, CNRS : CRET [Centre de recherche sur les espaces tropicaux], Institut de géographie, Université de Bordeaux III, 1989.
Ethnogéographies, avec Paul Claval (dir.), Paris, l'Harmattan, coll. « Géographie et cultures », 1995.
Atlas de Maurice (dir.), Talence, Université Michel de Montaigne-Bordeaux 3, 1997.
Pratiques de gestion de l'environnement dans les pays tropicaux (dir.), Talence, Marillier, 1997.
Actes des Ve Journées de géographie tropicale organisées par le Comité national de géographie, Commission Espaces tropicaux et leur développement, Talence, 6-.
Laïcité : enjeux et pratiques (dir.), Pessac, Re.Val.Ed. ; [Talence, Presses universitaires de Bordeaux], 2007.
Références
↑Ce cas de figure n’est actuellement possible que pour une personne née étrangère à l’étranger dans un pays où le mononyme est autorisé et par la suite naturalisée Française. Un enfant né en France, de nationalité française ou non, a l’obligation d’avoir au moins un prénom et un nom de famille ; de même pour un Français né à l’étranger et déclaré dans un consulat français à l’étranger. Lors de la naturalisation française, il est possible de franciser son nom, en choisissant notamment un prénom si la personne n’avait pas de nom personnel distinct du nom de famille qui faisait office de prénom dans son pays d’origine. Mais ce n’est pas obligatoire. Si la personne avait juste un mononyme dans son pays d’origine et ne choisit pas de prénom à sa naturalisation, ce mononyme bascule comme nom de famille pour l’administration française et la personne se retrouve sans prénom. Cf. aussi « Référendum ADP : pourquoi y a-t-il une case «je n'ai pas de prénom» ? » dans Libération, article publié en ligne le 17 juin 2019.
↑Virginie Bloch-Lainé, « Pierre Singaravélou : génération mondialisation », L'Histoire, no 480, (lire en ligne).