La paroisse de Sainte-Clotilde n'est toutefois érigée canonique qu'en 1884 des suites de la cession d'une partie du territoire de Saint-Chrysostome. C'est l'année suivante que la municipalité de paroisse fut promulguée sous le nom de Sainte-Clothilde, quelques mois après l'inauguration de la première église catholique du secteur. Étant la proie des flammes, celle-ci doit cependant être reconstruite au cours de l'année 1885. La paroisse ne commence qu'à être desservie par le réseau d'électricité qu'en 1921[3].
En 1984, la municipalité de la paroisse de Sainte-Clothilde est renommée en Sainte-Clotilde-de Châteauguay, sans « h ». Le , la municipalité de la paroisse de Sainte-Clotilde-de-Châteauguay, change son nom et son statut pour municipalité de Sainte-Clotilde[4],[5].
L'origine du nom de cette municipalité serait due à la reine des Francs, Clotilde (vers 475-545), épouse de Clovis. Le choix de ce nom fut peut-être influencé par la ville septentrionale, Saint-Rémi, rendant hommage à Remi, évêque de Reims, qui baptisa l'époux de Clotilde.
↑« Fiche », sur www.mamh.gouv.qc.ca (consulté le )
↑ a et bMunicipalité de Sainte-Clotilde, « Histoire - Municipalité », sur ste-clotilde.ca (consulté le )
↑Institut de la statistique du Québec, Modifications aux municipalités du Québec, février 2010, Québec, Institut de la statistique du Québec, , 12 p. (ISSN1715-6408, lire en ligne), p. 3