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Histoire
Aucune trace d'occupation n'est attestée pendant la période romaine, tant au niveau archéologique que bibliographique[1].
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Vaux-la-Garde[2].
Lors des élections municipales de , aucun candidat ne se présente au premier tour. Le maire, Raymond Mazurat et les autres élus sortants sont réélus au second tour à titre transitoire, dans le but de fusionner avec la commune voisine de Vaugneray[3]. Un arrêté préfectoral du prononce alors la création de la commune nouvelle de Vaugneray le [4] dont Saint-Laurent-de-Vaux constitue une commune déléguée.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[5]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[6],[Note 1].
En 2012, la commune comptait 270 habitants, en évolution de +8 % par rapport à 2007 (Rhône : +5,46 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
↑Odile Faure-Brac, Carte archéologique de la Gaule - Le Rhône, 69/1, (ISBN2-87754-096-0), p. 390