La municipalité est nommée ainsi en l'honneur de l'apôtre Jude, le patron des causes perdues.
Histoire
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La municipalité est érigée le . En 1843, une partie du territoire de Saint-Jude est détachée pour créer la municipalité de Saint-Barnabé-Sud. Le , la municipalité de paroisse de Saint-Jude est constituée lors du premier découpage municipal du Québec[2].
Le , Saint-Jude change son statut pour celui de municipalité de Saint-Jude.
Le , un important glissement de terrain emporte une maison et fait quatre morts sur les berges de la rivière Salvail. Le terrain déplacé couvre un kilomètre sur 500 mètres[3].
Élection partielle en italique Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises
Du côté provincial, la municipalité fait partie de la circonscription électorale de Richelieu.
Drapeau de Carillon
Plus important encore, Saint-Jude est le village d'origine du drapeau québécois. En 1902, le prêtre de Saint-Jude, Elphège Filiatrault, propose une ébauche du drapeau québécois, le drapeau de Carillon. La croix blanche et le lys représentent la France, mère-patrie du Québec. Toutefois, ce n'est que cinquante ans plus tard, le [7], que Maurice Duplessis adopte le drapeau sous cette condition : que les lys blancs soient placés verticalement afin de représenter la droiture du peuple québécois.
Culture et patrimoine
Le village possède un centre d'interprétation qui constitue un refuge pour des centaines d'oiseaux de proie blessés.