Au n° 1 : ancien hôtel Pesciolini construit en 1673, avec deux cariatides les plus anciennes de Marseille.
Au n°11 : Le 11 rue Nationale était réputé au Moyen Âge pour accueillir une voyante très prisée mais qui fut considérée comme une sorcière par la population et traînée en place publique puis brûlée. Une légende urbaine raconte qu'elle aurait été enterrée dans la cave et que son esprit serait encore présent.
Au n° 51 emplacement de l’hôtel Saint-Jacques de Sylvabelle où meurt le Guillaume de Saint-Jacques de Silvabelle, directeur de l’observatoire de Marseille. Ce bâtiment a été détruit lors du bombardement du .
Notes et références
↑Chardon, Tableau historique et politique de Marseille ancienne et moderne ou Guide fidèle du voyageur et des négocians dans cette ville..., Chardon, (lire en ligne)
Bibliographie
André Bouyala d’Arnaud, Évocation du vieux Marseille, les éditions de minuit, Paris, 1961.
Adrien Blés, Dictionnaire historique des rues de Marseille, Ed. Jeanne Laffitte, Marseille, 1989, (ISBN2-86276-195-8).