vu l'emplacement de la nouvelle église de Notre-Dame-de-Lorette, à Paris, et des rues à ouvrir pour en faciliter les abords (les rues Bourdaloue et Fléchier), notre ordonnance du 3 janvier 1822, qui a autorisé l'acquisition d'une partie du terrain nécessaire à l'exécution de ce plan, les délibérations du Conseil Général du Département de la Seine faisant fonctions de Conseil Municipal de la Ville de Paris, vu l'avis du Préfet, notre Conseil d’État entendu, Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit :
Article 1 — La position de la nouvelle église de Notre-Dame-de-Lorette, à Paris, et les alignements des rues et places projetées aux abords de l'édifice sont arrêtés conformément au plan ci-joint.
Article 2 — Les acquisitions qui restent à conclure pour l'exécution de ce plan seront effectuées par la Ville, soit en traitant de gré à gré, avec les propriétaires, soit en procédant suivant les formes prescrites par les lois sur la matière, soit enfin, s'il y a lieu, par mesure de voirie, à charge par l'autorité municipale de soumettre à notre approbation les actes relatifs à ces acquisitions.
Dans cette rue[Où ?] se trouvait le siège du HOC (Comité de secours pour l'Arménie), originellement HOK (Haï Oknoutian Komité)[6]. Il est dirigé par un Conseil central. Il est formé par les comités locaux (un par ville, sauf à Paris et à Marseille). Missak Manouchian est membre du comité du Quartier latin et contribue rapidement au journal du HOC.
La rue Bourdaloue dans la culture populaire
La tarte Bourdaloue, entremets chaud de frangipane et de poires saupoudré de macarons écrasés, tient son nom de la rue Bourdaloue où était établi le pâtissier Fasquelle, qui l'inventa dans les années 1850[7],[8].
↑Claire Mouradian, L’Arménie, PUF, coll. « Que sais-je ? », p. 80, référence fournie par le président de Menez Ararat. Site : [1]. Menez est le mot breton pour « mont », l'association arménienne de Nantes, qui signale aussi une variante Hay Ocnoutian Gomidé ; on trouve effectivement le sigle HOG, utilisé par Cyril Le Tallec (cf. bibliographie). Ces variantes sont liées à des questions de transcription et à des différences dialectales dans la langue arménienne.
↑Joseph Favre, Dictionnaire universelle de cuisine pratique, Place des Éditeurs, 2010, p. 254/1529 pp.
↑Lesserteur, autre pâtissier installé également dans cette rue faisait aussi une tarte mais tirant plus sur la tarte aux amandes[réf. nécessaire].