Royal Oak (Nouvelle-Zélande)
Royal Oak est une petite banlieue de la plus grande ville de Nouvelle-Zélande, qu’est Auckland située dans l’Île du Nord. Municipalités limitrophes
GouvernanceRoyal Oak est sous la gouvernance locale du conseil d’Auckland. PopulationLa population de Royal Oak était de 5 421 habitants lors du recensement de 2006 en Nouvelle-Zélande, en augmentation de 366 personnes par rapport à celui de 2001 [1]. HistoireLa banlieue est dénommée d’après l’hôtel “ Royal Oak”, qui était situé sur le rond-point dit «Royal Oak Roundabout». En 1909, l’hôtel perdit sa licence pour vendre de l’alcool. Pendant de nombreuses années, il fut remplacé par une pharmacie avant d’être utilisé comme les locaux d’une agence immobilière nommée:Barfoot & Thompson (en). Royal Oak fait référence à un arbre, dans lequel Charles II se cacha durant la Bataille de Worcester pour éviter la capture. Dans le milieu du « Royal Oak Roundabout » était autrefois localisé le « Seddon Mémorial », conçu par John Park, un architecte local, qui était aussi Maire de Onehunga. À cette époque la structure fut érigée en mémoire du Premier Ministre Richard Seddon, qui décéda soudainement en activité en 1906. Richard John Seddon (1845 à 1906) était immensément populaire et il y eut plusieurs monuments pour lui tout autour du pays. Le monument du «Royal Oak» était une croix Gothique (en) et combinait un abri de tram, une lampe à gaz d’éclairage standard et une fontaine pour boire. Au milieu du XXe siècle, il fut décidé que le mémorial faisait obstruction au trafic et il fut retiré en [2] car le carrefour de “Royal Oak” dessert 6 routes convergentes mais l’une d’elles, avait été fermée dans les années récentes. Royal Oak devint le site du premier restaurant KCF de Nouvelle-Zélande en 1971 [3]. Le centre commercial de Royal Oak Mall (en) fut étendu de façon significative en 1980 pour devenir une source importante pour le commerce dans ce secteur. Zoo Boyd« Royal Oak » fut autrefois le domicile du Zoo Boyd (en), un des plus anciens Jardin Zoologique en Nouvelle-Zélande (en). Il fut ouvert en 1912 par l’homme d’affaires local et futur maire d’Onehunga): John James Boyd. Il présenta jusqu’à 600 à 2 000 spécimens comprenant plusieurs lions, ours, gloutons, flamants, et d’autres animaux exotiques. La plupart des animaux étaient conservés dans de très médiocres conditions. Il y avait un abattoir sur le site où des animaux errants locaux, tels que des chevaux ou des chats était tués pour nourrir les animaux captifs. Il y a eu souvent des histoires, qui parlaient de lions échappés du zoo et rodant autour dans les rues de Onehunga. Toutefois ces rumeurs sont quelque peu erronées et trompeuses. La première apparition de ce type d’histoire fut publiée dans une série de journaux en 1966. L’origine la plus probable de l’histoire fut qu’un lion en fuite, avait pénétré dans le paddock des vaches avec des veaux lors de la noël 1917. Plutôt qu’un lion sauvage divagant dans les rues, un petit cub fut acculé dans un coin du paddock par le gardien de troupeau avant qu’il ne soit attrapé au lasso et ramené dans son enclot. Bien que le zoo soit populaire auprès des visiteurs, le bruit et l’odeur le rendirent impopulaire pour le voisinage. Boyd dut s’engager dans une bataille constante avec les conseils locaux pour le fonctionnement du zoo. Finalement, après plusieurs tentatives pour vendre ses animaux au conseil, le conseil aboutit à un accord avec Boyd: 11 lions, 6 ours et 2 loups furent vendus au conseil pour 800 £. Les animaux furent donnés au Zoo d’Auckland (en) nouvellement installé à Western Springs en 1922 [4] , [5] , [6] . Sur le site du «zoo Boyd» fut ensuite construit avec un hôpital temporaire pour les soldats des ‘Marines Américains’ en 1942, avant d’être converti en une école nommée «Manukau Intermediate School» (maintenant renommée école école intermédiaie de Royal Oak (en)). ÉducationLe secteur est desservi par plusieurs écoles d’état secondaires comprenant: Auckland Grammar School, collège de One Tree hill (en), St Peter's College, école secondaire de Onehunga, et collège Marcellin (en). Voir aussiNotes et références
Autres lectures
Liens externes
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