Ce comte, aussi mal connu que son père, est mentionné seulement par deux chartes, de 1005 et 1033.
Rotboald épouse vers 1002 une Ermengarde, d'origine inconnue. Selon plusieurs historiens, veuve, Ermengarde se serait très probablement remariée avec Rodolphe III, roi de Bourgogne vers 1011[2],[3],[4]. Mais cette thèse ne fait pas l'unanimité[5].
↑ou Rotboald III, si l'on considère son arrière-grand-père paternel comme Rotboald Ier, bien que ce dernier n'ait jamais été comte de Provence.
↑Georges de Manteyer (1908), La Provence du premier au douzième siècle : études d'histoire et de géographie politique, Volume 1, Picard, 988 pages, p. 750 (lire en ligne).
↑Laurent Ripart, Les fondements idéologiques du pouvoir des comtes de la maison de Savoie (de la fin du Xe au début du XIIIe siècle), vol. 1, Université de Nice, coll. « thèse sous la dir. de Henri Bresc », , 833 p. (lire en ligne), p. 54.
↑Theodor Schieffer, Hans E Mayer, Die Urkunden der burgundischen Rudolfinger (Regum Burgundiae e stirpe Rudolfina diplomata et acta), München, 1977, n° 136, p. 313.
Eliana Magnani , « Monastères et aristocratie en Provence - milieu Xe - début XIIe siècle », Lit Verlag, 10, 1999, Vita Regularis. Ordnungen und Deutungen religiosen Leben im Mittelalter, Gert Melville, 3-8258-3663-0 (lire en ligne).