Robert Bréchon né le à Maintenon[1], et mort le [2] au Pecq, est un poète, essayiste et littérateur français. Il a joué un rôle décisif pour faire connaître la littérature portugaise en France.
Biographie
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A la rentrée de l’année scolaire 1968/69, il est arrivé en poste au lycée Alphonse-Daudet, qu'il décrira en « couvent majestueux et vétuste »[4]. En 1971, à la tête d'une liste aux élections municipales à Nîmes, il arrive derrière Émile Jourdan[5].
Il est l'époux d'Arlette Bréchon, avec laquelle il signe en 1974 Les Noces d'or[6].
Décorations
Chevalier de la Légion d'honneur, chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres, Grand-croix de l'Infant Dom Henrique (Portugal).[réf. nécessaire]
Œuvres
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Auteur de divers recueils de poésie et de plusieurs études littéraires, il s'est d'abord intéressé à la poésie contemporaine et s'est fait connaître dès la fin des années 1950 par ses travaux sur Henri Michaux, le surréalisme et Michel Leiris, avant de devenir un spécialiste de la littérature portugaise, en particulier de Fernando Pessoa, dont il a dirigé l'édition des œuvres chez Christian Bourgois, et auquel il a consacré une biographie. Il a également complété un ouvrage de référence sur la littérature portugaise, paru chez Chandeigne, et a été directeur de la collection « Le cercle des poètes disparus », série de biographies littéraires, aux éditions Aden.
↑Michel Boissard, « Les anciens de Daudet », dans Serge Velay (dir.), Visas pour le Gard : un siècle, un département, Vauvert, Au diable Vauvert, (ISBN978-2-84626-101-2), p. 133.