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René Perrotte2.svg){kind=small} Cet article est une ébauche concernant Caen. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
René Perrotte, né à Caen le et décédé à Thaon le , est un ancien homme politique. Il est maire de Caen de 1898 à 1904, puis de 1908 à 1919. Il en est le premier maire républicain de gauche. Biographie Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? René Perrotte est né à Caen le . Après des études de droit à l'université de Caen, il devient notaire. Il entre au conseil municipal de la ville et en devient son 2e adjoint en mai 1896[1]. Il en devient maire le . Il démissionne en 1904 ainsi que tout le conseil municipal après avoir été défait aux élections cantonales[2]. Il se représente en 1908 avec le soutien d'Henry Chéron[3] et récupère la mairie face à une liste nationaliste[2]. Il garde son mandat jusqu'en 1919. De 1904 à 1918, il est conseiller général de Caen. Il meurt dans sa propriété de Bombanville à Thaon le [4]. Son nom est donné à une rue dans l'ancien quartier Saint-Louis le [5]. Action municipaleCette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? C'est sous ses mandats que sont construits l'hôpital Clemenceau, la bibliothèque du palais des facultés (rue Saint-Sauveur), l'école primaire supérieure (rue de Bayeux), le groupe scolaire Gambetta, le lycée de jeunes filles (rue Pasteur)[5]. Il est connu pour avoir inventé en 1910 la « perrottine », un objet servant au ramassage des déchets, l'équivalent caennais de la poubelle parisienne[5]. Cette boite en fer de forme carrée est fermée par un couvercle et peut être déplacée grâce aux roues fixées à sa base. 6 000 exemplaires de cette boite sont distribuées à Caen[1]. À la fin de son second mandat, il crée l'office public d'habitations à bon marché[1]. La dévolution du cimetière protestant de Caen à la ville, acceptée par René Perrotte, est confirmée par un décret du [6]. Notes et références
AnnexesArticles connexes |
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