Reine BartèveReine Bartève
Elle s'illustre notamment au théâtre en dans La Reine morte et en interprétant Charlotte Robespierre dans une adaptation théâtrale des Mémoires de cette dernière, en 1989. BiographieDébuts sur scèneAprès avoir suivi des cours à l'Académie Charles Dullin, Reine Bartève entame une carrière de comédienne dans Un envoyé spécial, pièce de Jean Escoffier mise en scène par Jean-Pierre Miquel en . L'année suivante, elle joue notamment dans La Reine Margot, sur une mise en scène de Jean Davy ThéâtreLe au Coupe-Chou Beaubourg de Paris, elle tient un rôle dans une pièce de Tennessee Williams, Je n'imagine pas ma vie demain, en présence de l'auteur[2], mise en scène par Andréas Voutsinas. La même année, elle créé une pièce, L'Arménoche, qui a pour sujet le peuple arménien dont elle est originaire, et dans laquelle elle tient le rôle principal, sur une mise en scène de Jean-Luc Boutté[3]. En , elle créé une nouvelle pièce, Le Pavillon Balthazar[4],[5] mise en scène par Gabriel Garran. En , à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, elle interprète Charlotte Robespierre dans une adaptation des Mémoires de la sœur de l'Incorruptible[6]. En , on la retrouve dans Le Repos du septième jour de Paul Claudel (mise en scène de Jean Bollery)[4]. CinémaParallèlement à sa carrière au théâtre, Reine Bartève s'illustre au cinéma dans Un sac de billes, adapté du roman de Joseph Joffo par Jacques Doillon en , film où elle tient le rôle de la mère de l'auteur. En , elle tourne simultanément dans Le Curé de Tours, téléfilm diffusé en et adapté du roman de Balzac, et dans Le Pull-over rouge, autre adaptation d'un roman à succès. Avec ce long-métrage, c'est la seconde fois qu'elle tourne un film de procès, après Landru, réalisé par Claude Chabrol. À la fin de sa carrière, elle renoue avec le film de procès avec L'Affaire Dominici. Œuvre
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