Poète baroqueprotestant, Poupo est notamment l'auteur de la Muse chrestienne[2] (1590)[3] ainsi que de nombreux sonnets[4].
L'Édit de Nemours le force à l'exil en République de Genève[5], en . En 1588, Poupo épouse Th. de Villeminot (prénom complet inconnu), sœur d'Estiennette de Villeminot, elle-même l'épouse de Philibert Guide, qui est ami de Poupo[5].
Dès 1847, Léon Feugère fait noter que Poupo est singulièrement tombé dans l'oubli[6].
Guillaume Colletet, dans une Vie des poètes français depuis lors perdue, fait son éloge[6].
↑Pierre (1552-1590) Auteur du texte Poupo, La muse chrestienne de Pierre Poupo, B. Le Franc, 1590-1592 (lire en ligne)
↑G.-A. Pérouse, « Pierre Poupo (1552-1590): un poète protestant en Champagne », Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, vol. 36, no 1, (lire en ligne, consulté le )