Durant la Seconde Guerre mondiale, démobilisé dès , il se replie à Clermont-Ferrand. La rafle du 25 novembre 1943 le contraint à partir pour Paris, avant de retrouver son poste à l'Université de Strasbourg en 1945. Spécialiste de Paulin de Nole, il soutient le deux thèses intitulées Saint Paulin de Nole et l'amitié chrétienne et Essai sur la chronologie des œuvres de saint Paulin de Nole. Il est alors nommé professeur titulaire de la chaire de littérature latine, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort[1].
André-Jean Festugière et Pierre Fabre, Le monde gréco-romain au temps de Notre-Seigneur, Paris, Bloud et Gay, .
Pierre Fabre, Les citations dans la correspondance de Paulin de Nole, Paris, Les Belles lettres, .
Pierre Fabre, Essai sur la chronologie de l'oeuvre de saint Paulin de Nole, Strasbourg, Publ. de la Faculté des lettres de l'Université de Strasbourg, .
Pierre Fabre, Saint Paulin de Nole et l'amitié chrétienne, Paris, E. de Boccard, .
Traductions
César, Guerre civile : Livres I-II, t. I, Paris, Les Belles lettres,
César, Guerre civile : Livre III, t. II, Paris, Les Belles lettres,
Références
↑ abc et d« FABRE Pierre », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace (consulté le )
André Boulanger, « Saint Paulin de Nole et l'amitié chrétienne », Vigiliae Christianae, vol. 1, no 3, , p. 183-185 (lire en ligne)
Michel Gras et Olivier Poncet, Construire l'institution. L’École française de Rome, 1873-1895, Rome/Paris, Publications de l’École française de Rome, , 554 p. (ISBN978-2-7283-1030-2, lire en ligne)
Joseph Roserot de Melin, « Pierre Fabre (nécrologie) », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 69, , p. 347-352 (lire en ligne)