Après des études de commerce et des activités diverses, Pierre Beuchot débute comme stagiaire puis assistant à la mise en scène en 1964. Il travaille d'abord avec des cinéastes dits « commerciaux » (Jean-Claude Chambon pour Les Pieds nickelés, Jean-Claude Roy pour Les Combinards), mais aussi avec le cinéaste Georges Rouquier pour des courts-métrages institutionnels (Sire le Roy n’a plus rien dit, 1965).
Mort
Pierre Beuchot meurt le d'un cancer des poumons, après que sa femme a succombé à la pandémie de Covid-19 en [2].
Le Temps détruit – Lettres d’une guerre (1985), d'après les correspondances de Maurice Jaubert, Paul Nizan, Roger Beuchot. Sélectionné à la Semaine de la critique à Cannes, aux festivals de New-York, Moscou, Londres, etc. Grand prix SCAM 1987.
Le Cinéma de l’ombre (1984) en collaboration avec Jean-Pierre Bertin-Maghit - Primé au Festival dei popoli de Florence
Bibliographie
Le Temps détruit – Lettres d’une guerre, Édition Connaissance du cinéma.
Sade en procès, coauteur : Jean-Jacques Pauvert, Édition Mille et une nuits.
Jugements
Jean Thibaudeau : « À partir de quoi Le Temps détruit, en 1985, m'a bouleversé, consacré à la mémoire de Paul Nizan, de Maurice Jaubert, le musicien avant-guerre de Jean Vigo et de René Clair, et Roger Beuchot, un ouvrier, le père du cinéaste, tous trois tombés face à l'ennemi, en mai et , vous donnerait la clef de tout »[3]