Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Lié à des mouvements artistiques d'avant-garde, Paul Sharits est l'une des figures du cinéma structurel, aux côtés de Tony Conrad, Hollis Frampton et Michael Snow. Il a également été lié au mouvement Fluxus dont il a réalisé quelques Fluxfilms.
Le cinéaste canadien François Miron consacre, en 2015, un long métrage documentaire au cinéaste intitulé simplement « Paul Sharits » édité par Re:Voir Vidéo[1], où y est envisagé aussi bien le travail cinématographique et plastique que les problèmes psychologiques de l’artiste qui le conduisent à formaliser une écriture agressive au sein de l’avant-garde américaine des années 1960-1970 par l’utilisation du flicker avec des pulsations de couleurs sur des images parfois déstabilisantes comme l’opération d’un œil et des scènes de coït dans T,O,U,C,H,I,N,G(en), un de ses films les plus emblématiques commenté, dans le documentaire, par diverses personnalités du monde des arts.
Filmographie
Sauf mention contraire, tous les films sont en 16 millimètres.