Puis elle est professeure à l'université de Genève où elle enseigne la littérature française, la littérature comparée et le cinéma.
Ses domaines de recherche et ses publications portent sur la littérature et l'histoire intellectuelle des XIXe et XXe siècles (tout particulièrement Edgar Poe, Charles Baudelaire, Roland Barthes[4]), sur l'esthétique et la critique d'art, sur l'histoire et la théorie de l'architecture aux XIXe et XXe siècles et sur l'esthétique cinématographique[5].
Spécialiste de la théorie des émotions[6], elle est, à partir de 2009, chef du projet Dynamique affective et émotions esthétiques du Swiss National Centre in Competence in Research (NCCR) in Affective Sciences, depuis 2009[7].
Patrizia Lombardo est membre de la Société académique de Genève depuis 2000 et en est la présidente à partir de 2014, jusqu’à sa mort.
↑« Antoine Compagnon : « Accepter sa bêtise, c’est indispensable pour écrire, et peut-être aussi pour vivre » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Patrizia Lombardo a dirigé la thèse, soutenue en 2014 et publiée (Classiques Garnier, collection "Baudelaire", 2019), de Julien Zanetta, Baudelaire, la mémoire et les arts.
↑Patrizia Lombardo, « Django Unchained, un réservoir d'émotions postmodernes à la sauce Tarantino », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne)