Pablo Katchadjian est un écrivain, poète et éditeur argentin né en 1977 à Buenos Aires[1],[2], où il réside.
Biographie
Il est né à Buenos Aires en 1977. Se consacrant à l'écriture, il a publié 7 ouvrages et est aussi responsable de Imprenta Argentina de Poesía (IAP), ce qui lui a permis d’auto-publier ses premières œuvres. Une controverse et une procédure judiciaire portent sur la façon dont il a intégré dans certaines de ses publications des travaux de Jorge Luis Borges en les «complétant»[3]. Il est attaqué notamment par María Kodama, héritière universelle de Borges. Pour autant, plusieurs écrivains argentins, comme Ricardo Piglia, ou encore César Aira, ont pris fait et cause pour lui[4],[5].
Publications
Il a publié dans plusieurs maisons d’édition argentines des livres de poésie et de fiction, parmi lesquels :
El cam del alch (IAP, 2005),
El Martín Fierro ordenado alfabeticamente (IAP, 2007),
↑(es) Malena Rey, « Pablo Katchadjian », Los Inrocks, (lire en ligne)
↑ a et b(es) Catalina Oquendo B., « Pablo Katchadjian, el escritor argentino enjuiciado por haber "engordado" con 5.600 palabras "El Aleph", una de las grandes obras de Jorge Luis Borges », BBC Mundo, (lire en ligne)
↑ a et b(en) Fernando Sdrigotti, « Re-working Borges is a legitimate experiment, not a crime », The Guardian, (lire en ligne)