L'Orientale, sous-titrée valse pour piano, op. 32, est une œuvre de la compositrice Mel Bonis, datant de 1898.
Composition
Mel Bonis compose son Orientale pour piano en 1898. L'œuvre est dédiée « à Mme Jeanne Lobstein ». Elle est publiée en 1898 par les éditions Leduc, puis est rééditée en 2014 par les éditions Furore[1].
Analyse
L'Orientale fait partie de ces pièces pour piano dont la compositrice est friande, et qui font partie du genre de la valse. L'écriture de Mel Bonis y est élégante et garde une distinction caractéristique tout en restant accessible à un vaste public. Elle se trouve proche des Valses-Caprices de Gabriel Fauré ou de La Plus que lente de Claude Debussy[2].
Réception
Discographie
- Bonis: Le diamant noir (Danses), Laurent Martin (piano), Ligia, 2016.
- Le diamant noir, par Laurent Martin (piano), Ligia Digital, 2016
Références
Sources
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Œuvres perdues |
- Petite suite pour deux instruments à vent et harpe chromatique
- Andante pour violon, violoncelle et orgue
- Insouciance
- Marche sacrée
- Mélancolie
- Musette
- Nocturne no 2 en ré bémol majeur
- Prélude en la mineur
- Prélude en ré bémol majeur
- Prélude en si bémol majeur
- Sortie en ré majeur
- Suite pour flûte, violon et violoncelle
- Trio pour piano, violon et violoncelle en mi bémol majeur
- Trio pour piano, violon et violoncelle en sol mineur
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