Nathaniel Mackey est le fils de Sadie Jane Wilcox, et d'Alexander Obadiah Mackey[3]. En 1951, ses parents divorcent. Sa mère, ses deux frères, sa sœur et lui s'installent en Californie du Nord.
Lors de ses études secondaires, il s'oriente vers une carrière scientifique. La découverte de la littérature et de la poésie vont modifier son parcours de vie, en particulier la poésie. Dans les années 1960, il se passionne pour la poésie avant-gardiste de William Carlos Williams et la poésie révolutionnaire d'Amiri Baraka dans les premières années du Black Arts Movement[4].
Les manuscrits de Nathaniel Mackey sont déposés à la bibliothèque de l'université Emory[20].
Œuvres
L'œuvre de Nathaniel Mackey est principalement centrée sur les éléments africains présents dans la culture américaine tels que les instruments de musique, le gospel, le ragtime, le jazz, le rhythm and blues et le rap. Sont prises en compte leurs influences sur les compositeurs, la musique de divertissement, les écrivains et les peintres.
The Ocean’s Tide: Parentheses in Kamau Brathwaite’s and Nathaniel Mackey’s Decolonial Poetics, article de Simon Eales pour la Cordite Review Poetry, 2017[32]
The Far Side of Mastery: An Interview with Nathaniel Mackey, interview pour la revue littéraire ASAP/Journal publié par les Presses de l'université Johns Hopkins , 2016[35]
Nathaniel Mackey wins Yale’s 2015 Bollingen Prize for Poetry, article du Yale News, 2015[28]
The Condition of Dream, Nathaniel Mackey's Blue Fasa, article de Margaree Little pour la Kenyon Review, 2015[36]
The Song Sung in a Strange Land, interview menée par Andrew R. Mossin pour la revue universitaire The Iowa Review[37], vol 44, parution hiver 2014/2015[5]
Nathaniel Mackey wins $100,000 Ruth Lilly Poetry Prize, article de Ron Charles pour The Washington Post, 2014[38]
$100,000 Ruth Lilly Poetry Prize goes to Nathaniel Mackey, article de Carolyn Kellog pour le Los Angeles Times, 2016[39]
Nathaniel Mackey’s Long Song, article sur le bulletin de l'université DukeDuke to Day, 2014[40]
Famed lyric poet Nathaniel Mackey unites modernism, jazz and poets near and far, article de Chris Vitiellio pour la magazine Indy Week, 2014[41]
The Atmosphere is Alive: Nathaniel Mackey in Conversation, interview menée par Sarah Rosenthal pour l'Academy of American Poets, 2014[42]
↑(en) « A Philosophical Posse Hunts For The Self In Nathaniel Mackey's Poems », NPR.org, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) « Nonfiction Book Review: ATET A.D. by Nathaniel Mackey, Author . City Lights $13.95 (184p) », PublishersWeekly.com, release date: 08/01/2001 (ISBN978-0-87286-382-8, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) LATE ARCADE by Nathaniel Mackey | Kirkus Reviews (lire en ligne)
↑(en) « Claudia Rankine and Nathaniel Mackey to Receive the Bobbitt National Prize for Poetry », The Library of Congress, (lire en ligne, consulté le )
↑ a et b(en) « Nathaniel Mackey wins Yale’s 2015 Bollingen Prize for Poetry », YaleNews, (lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) « The Ocean’s Tide: Parentheses in Kamau Brathwaite’s and Nathaniel Mackey’s Decolonial Poetics », Cordite Poetry Review, (lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Ron Charles, « Nathaniel Mackey wins $100,000 Ruth Lilly Poetry Prize », Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Carolyn Kellogg, « $100,000 Ruth Lilly Poetry Prize goes to Nathaniel Mackey », Los Angeles Times, (ISSN0458-3035, lire en ligne, consulté le )
↑(en) « Taking Note: Nathaniel Mackey’s Long Song — Duke Today », Duke Today, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Chris Vitiello, « Famed lyric poet Nathaniel Mackey unites modernism, jazz and poets near and far », Indy Week, (lire en ligne, consulté le )