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Alors qu'elle travaille depuis près de vingt ans dans la publicité, Nathalie Berr commence à la fin des années 1990 à envoyer des projets à divers éditeurs de bande dessinée, alors même qu'elle n'en lit plus depuis des années[1]. Albin Michel lui propose d'illustrer La Maison Dieu, un scénario de Rodolphe qui n'avait alors pas encore de dessinateur attitré ; rompue à travailler sur des projets non personnels, elle accepte de s'en charger, tout en s'appropriant assez rapidement l'histoire[1]. En 2011, pour Borderline, avec Alexis Robin, elle emploie un dessin réaliste qui confère à ce thriller une note fantastique[2].
En 2015, ses travaux figurent dans l'exposition Guerre et craie (Côtes-d'Armor), en hommage à la Première Guerre mondiale[3]. La même année, sur un scénario de Patrice Ordas, elle commence le diptyque Les Naufragés du métropolitain, qui s'inspire de la crue de la Seine de 1910, dans lequel son « trait précis et généreux » sert les détails selon Le Parisien[4] ; le deuxième tome paraît en 2016, où ses dessins sont « précis et colorés »[5].