Un homme dans l'enseignement supérieur à l'aube de la retraite se souvient de sa jeunesse et se pose des questions. Était-il en Bolivie avec Che Guevara ?
Nicolas Didier (telerama.fr) note que « le réalisateur, habitué aux normes de la télévision – il y a fait l’essentiel de sa carrière –, profite de l’occasion pour se libérer des dogmes scénaristiques. Son film repose sur une succession de saynètes foutraques et une narration distanciée »[1]
« On est heureux d’avoir retrouvé Patrice Gautier. Sa petite musique n’a pas tellement changé, celle qu’on percevait en filigrane de L’Amour ou presque (1985), celle du fil de la vie. Absurde » (Anne Vignaux-Laurent, sur jeunecinema.fr, [2])
Notes et références
↑« Moi et le Che, une comédie de vieux briscards pleine de fraîcheur »[1]