La dure existence de travailleurs russes déportés en Allemagne durant la Deuxième Guerre mondiale. Le matricule n° 217, la jeune femme russe Tania, est abandonnée pour une somme dérisoire à l'épicier Krauss. Elle est maltraitée continuellement. Le portier, le savant mathématicien Sergueï Kartachov, subit un sort identique. Refusant de coopérer avec une entreprise allemande, il doit se plier à d'intolérables humiliations et tortures qui lui coûteront la vie. Déterminée, Tania se venge des bourreaux.
Fiche technique
Titre du film : Matricule 217
Titre original russe : Человек n°217, Tchelovek n° 217
Production : Mosfilm et Studio cinématographique de Tachkent
Pauline Gallinari, « L'URSS au festival de Cannes 1946-1958 : un enjeu des relations franco-soviétiques à l'heure de la « guerre froide » », 1895, no 54, , p. 22-43 (lire en ligne)