Né à Paris le , Martial de Braquilanges est le fils de Jean de Braquilanges, cadre commercial et de Claude Chalmin[1]. Marié en 1985 à Élisabeth Simon, il est le père de 6 enfants[1].
Martial de Braquilanges est issu de la famille de Braquilanges, originaire du Limousin[2], anoblie (relief), en 1720 sous la régence du duc Philippe d'Orléans (1674-1723)[3]. Les armes de la famille de Braquilanges portent d'azur à un chevron d'or accompagné de 3 croix de Saint Antoine ou tau du même. Sa devise est: Quod erigit virtus, sustinet animus[4]. Son cri de guerre est « Aux Trois Tafs ». Elle est inscrite à l'ANF depuis 1973.
Élevé aux rang et appellation de général de corps d’armée le , il est nommé à la même date gouverneur militaire de Lyon, officier général de zone de défense et de zone de soutien Sud-Est et officier général commandant la zone terre Sud-Est[6].
Il fait son « adieu aux armes » le au quartier Foch à Lyon, après 39 ans de carrière militaire[7].
↑ a et bQui est qui en France, J Lafitte, , p. 398.
↑Général Jean du Verdier, La noblesse d'ancien régime en Limousin- éditions Mémoires et documents, 2010/(Un lointain ancêtre du général, nommé comme lui Martial de Braquilanges, seigneur de Mortegoutte en Chapelle-Spinasse, fut en 1708 conseiller au Présidial de Tulle)
↑Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, éditions Robert Laffont, 2007-p. 51.
↑Joseph de Bergues La Garde, Nobiliaire du Bas-Limousin, Tulle, imprimerie d'Eugène Crauffon. 1872. p. 31.
↑« Adieu aux armes du général de corps d'armée Martial de Braquilanges, Gouverneur militaire », Le Mag de la Défense en Sud-Est, , HHABLOT (Ministère de la Défense)