Manaurie est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne , en région Nouvelle-Aquitaine .
Au 1er janvier 2019 , elle est intégrée à la commune nouvelle des Eyzies en tant que commune déléguée .
Géographie
Généralités
Le ruisseau de Manaurie au nord du village de Manaurie.
Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir , la commune déléguée de Manaurie s'étend sur 9,97 km2 . Représentant la partie nord-ouest de la commune nouvelle des Eyzies , elle est arrosée par le ruisseau du même nom , un affluent de la Vézère .
L'altitude minimale, 60 mètres, se trouve à l'est, là où le Manaurie quitte la commune et entre sur celle des Eyzies-de-Tayac-Sireuil . L'altitude maximale avec 209 ou 210 mètres[ Note 1] est localisée au nord, près du lieu-dit Calais . Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé , avec des sables, argiles et graviers éocènes au nord-est et au sud-ouest du territoire, ainsi que des alluvions holocènes recouvrant la vallée du Manaurie[ 1] .
À l'intersection des routes départementales 31 et 47 et traversé par la ligne ferroviaire Périgueux-Agen , le village de Manaurie se situe, en distances orthodromiques , sept kilomètres au nord-est du Bugue et dix-huit kilomètres au sud-ouest de Montignac-Lascaux .
Communes limitrophes
Carte de Manaurie et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle des Eyzies .
En 2018, année précédant la création de la commune nouvelle des Eyzies , Manaurie était limitrophe de cinq autres communes.
Urbanisme
Villages, hameaux et lieux-dits
Panneaux de lieux-dits.
Outre le bourg de Manaurie proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux , ainsi que de lieux-dits [ 2] :
les Bruyères
Calais
Cap del Roc
Carpe-Diem
le Cazal
Château de Roucaudou
les Corbeilles
la Croix du Soleil
les Croupoulous
Fompudie
Fondoubine
les Fosses
la Gane
le Garry
Grand Parti
les Grifoulets
la Guerletine
Lomple
Lortal
le Moulin de Peyre
la Mouthe
Navarre
les Ourtaloux
Pataye
les Pièces
les Placials
Prouillac
la Queyrelie
le Roc de la Pepue
Rouquette
la Rousselie
la Sablière
Seriols
la Tregandie
la Vermondie.
Toponymie
Panneau bilingue français-occitan d'entrée au bourg de Manaurie.
La première mention écrite connue du lieu, Manauria , n'apparaît qu'en 1382[ 3] .
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Manorie [ 4] .
Le nom de la commune provient du nom d'un personnage d'origine germanique « Manaud »[ 5] .
En occitan , la commune porte le nom de Manàuria [ 6] .
Histoire
En bordure de la vallée de la Vézère et des sites préhistoriques de Laugerie-Basse , Laugerie-Haute , du Poisson et de La Micoque , le territoire communal a été occupé par les hommes dès l'époque préhistorique comme le prouvent les gravures préhistoriques du Roc de la Pépue[ 7] .
Bien que son église soit d'architecture romane, la première mention écrite connue du lieu, Manauria , n'apparaît qu'à la fin du XIV e siècle[ 5] .
La construction du manoir de Roucaudou date des XV e et XVI e siècles, alors même que le lieu, « Bord. de la Recaudia », était déjà cité en 1304[ 8] .
Le 11 octobre 2018 , la commune nouvelle des Eyzies résultant de la fusion de la commune avec Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil et Saint-Cirq est créée pour une prise d'effet au 1er janvier 2019[ 9] .
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Manaurie a, dès 1790, été rattachée au canton du Bugue qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts . En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[ 10] .
Intercommunalité
Fin 2000, Manaurie intègre dès sa création la communauté de communes Terre de Cro-Magnon . Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme .
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014[ 11] , [ 12] . Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle des Eyzies , jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020.
Liste des maires puis maires délégués
La mairie (à gauche) et l'ancienne mairie en 2018.
Liste des maires successifs[ 13]
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1884
1907 ou 1908
Eugène Borderie
mai 1908
mai 1912
Fernand Carbonnière
mai 1912
1915 ou 1916
Frédéric Carbonnière
1915 ou 1916
décembre 1919
Amédée Delprat
Adjoint faisant fonctions de maire
décembre 1919
mai 1929
Amédée Delprat
mai 1929
1932
Léo Delprat[ Note 2]
mai 1932
mai 1935
Julien Giat
mai 1935
décembre 1940
Georges Delprat[ Note 3]
janvier 1941
1941
Gaston Garrigue
Adjoint faisant fonctions de maire
1941
mai 1945
Arthur Borderie
Conseiller municipal faisant fonctions de maire, puis maire
mai 1945
octobre 1947
Pierre Guitard
octobre 1947
mars 1965
Edmond Fongauffier
mars 1965
janvier 1970
Charles Mourey
janvier 1970
mars 1983
Pierre Bazinet
mars 1983
mars 2008
Marie-Thérèse Chaussade
UDF
mars 2008
décembre 2018
Gérard Dézenclos
SE [ 14]
Retraité de l'éducation nationale
Liste des maires délégués successifs de Manaurie
Période
Identité
Étiquette
Qualité
janvier 2019 (réélu en mai 2020[ 15] )
En cours
Gérard Dézenclos
SE
Retraité de l'éducation nationale
Instances judiciaires
Dans les domaines judiciaire et administratif, Manaurie relève[ 16] :
Démographie
Les habitants de Manaurie se nomment les Manauriens[ 17] .
En 2018, dernière année en tant que commune indépendante, Manaurie comptait 136 habitants. À partir du XXI e siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Manaurie[ 18] ). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.
Au 1er janvier 2021 , la commune déléguée de Manaurie compte 146 habitants[ 19] .
Évolution de la population [ modifier ]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
427 408 390 315 447 412 395 406 410
Évolution de la population [ modifier ] , suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
450 418 425 397 403 367 384 342 305
Évolution de la population [ modifier ] , suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
301 281 255 240 249 206 220 204 197
Évolution de la population [ modifier ] , suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
174 163 151 159 141 142 158 153 140
Évolution de la population [ modifier ] , suite (4)
2018
-
-
-
-
-
-
-
-
136 - - - - - - - -
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Les données économiques de Manaurie sont incluses dans celles de la commune nouvelle des Eyzies .
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La grotte de Carpe-Diem, recelant des concrétions naturelles colorées, fut un temps ouverte aux visites[ 21] ; elle est désormais fermée au public[ 22] .
Le Lieu-dit « Gorges d’enfer » est un site naturel classé [ 23] .
Situés en rive droite de la Vézère et en limite de la commune, les abris du Poisson , de Laugerie-Basse , de Laugerie-Haute et la grotte du Grand Roc se trouvent sur le territoire communal des Eyzies-de-Tayac-Sireuil .
Château de Cap del Roc , fin du XIX e siècle[ 24] .
Château de Lortal , XVII e siècle[ 25] .
Manoir de Roucaudou (ou château de Roucaudou), des XV e et XVI e siècles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1974 pour ses façades et toitures[ 26] , [ 8] .
Chartreuse de la Sablière[ 27] .
Église romane [ 21] Saint-Pierre-ès-Liens[ 28] , avec clocher-mur .
Patrimoine naturel
Paysage près du cimetière, en bordure des zones du coteau et des falaises calcaires (ZNIEFF de types I et II).
Près de Roucaudou, la vallée du ruisseau de Manaurie fait partie du site classé.
Du fait de sa proximité avec la Vézère , la commune présente plusieurs zones protégées à divers titres.
ZNIEFF
À l'est, environ 30 % du territoire communal fait partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II : la zone des falaises calcaires de la vallée de la Vézère qui s'étend depuis le nord du village de Saint-Léon-sur-Vézère jusqu'en bordure du village de Saint-Cirq et où sont recensées huit espèces déterminantes , une plante : l'Orchis des marais (Anacamptis palustris ), et sept oiseaux : l'Accenteur alpin (Prunella collaris ), le Choucas des tours (Coloeus monedula ), le Faucon crécerelle (Falco tinnunculus ), le Faucon pèlerin (Falco peregrinus ), le Grand Corbeau (Corvus corax ), l'Hirondelle de rochers (Ptyonoprogne rupestris ) et le Tichodrome échelette (Tichodroma muraria )[ 29] , [ 30] .
Elle inclut la ZNIEFF de type I : le coteau des Eyzies et de Manaurie délimité à l'est par la Vézère et au nord par le ruisseau de Manaurie [ 31] , [ 32] .
Natura 2000
Au niveau du territoire communal, sur une zone encore plus restreinte, les coteaux calcaires de la vallée de la Vézère sont protégés par le réseau Natura 2000 au titre de la directive habitats pour un papillon : le Damier de la succise (Euphydryas aurinia ), et neuf espèces sédentaires de chauves-souris : la Barbastelle (Barbastella barbastellus ), le Grand murin (Myotis myotis ), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum ), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii ), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus ), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii ), le Petit murin (Myotis blythii ), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros ) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale )[ 33] , [ 34] .
Sites remarquables
Depuis 2015, le site de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes est un site classé qui regroupe l’ensemble des sites préhistoriques majeurs de la vallée de la Vézère , en cohérence avec les sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère , classés au patrimoine mondial par l’Unesco en 1979[ 35] . Concernant vingt communes, ce site concerne près de la moitié du territoire communal[ 36] , [ 37]
Dans des zones situées autour de ce site classé, et concernant 31 communes, le site de la vallée de la Vézère est inscrit depuis 2016[ 38] . Il occupe la presque totalité du reste du territoire de Manaurie[ 39] , [ 40] .
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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Notes et références
Notes
Références
↑ Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord , Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5 ) , p. 19.
↑ « Manaurie » sur Géoportail (consulté le 1er novembre 2018) .
↑ Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z) , article « Manaurie », 1873, sur guyenne.fr , consulté le 16 novembre 2018.
↑ « Manorie » sur Géoportail (consulté le 16 novembre 2018) ..
↑ a et b Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord , éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2 ) , p. 208.
↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Manàuria sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 11 novembre 2021 .
↑ Chronique du Périgord (1920-1930) , Annales du Midi , sur Persée , p. 359, consulté le 16 novembre 2018.
↑ a et b Guy Penaud , Dictionnaire des châteaux du Périgord : châteaux, manoirs, gentilhommières, chartreuses, maisons-fortes , Bordeaux, éditions Sud Ouest, 1996 , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X ) , p. 246 .
↑ « recueil des actes administratifs de la Dordogne » [PDF] , 11 octobre 2018 (consulté le 18 octobre 2018 ) , p. 72-76
↑ a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales .
↑ Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance , consulté le 8 octobre 2018.
↑ Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 8 octobre 2018.
↑ Période 1884-2008 : registres de délibérations communales consultés le 19 novembre 2018 à la mairie de Manaurie.
↑ « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 4.
↑ Léna Badin, « Philippe Lagarde est un habitué », Sud Ouest édition Dordogne-Lot-et Garonne , 24 mai 2020, p. 16.
↑
« Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le 11 novembre 2018 ) .
↑ Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr , consulté le 1er novembre 2018.
↑ « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le 11 février 2014 )
↑ [PDF] Populations légales 2021 à compter du 1er janvier 2024 - Fichier Dordogne, p. 24-7 sur le site de l'Insee , consulté le 31 décembre 2023 .
↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006 , 2007 , 2008 , 2009 , 2010 , 2011 , 2012 , 2013 , 2014 , 2015 , 2016 , 2017 et 2018 .
↑ a et b Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy , Ouest-France , 1987, (ISBN 2-85882-842-3 ) , p. 188-189 .
↑ Manaurie sur le site de la communauté de communes Terre de Cromagnon (archive), consulté le 16 novembre 2018.
↑ DREAL : Gorges d'Enfer, site classé
↑ Guy Penaud , Dictionnaire des châteaux du Périgord , éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X ) , p. 61.
↑ Guy Penaud , Dictionnaire des châteaux du Périgord , éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X ) , p. 162.
↑ « Manoir de Roucaudou », notice no PA00082626, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée , ministère français de la Culture , consultée le 16 novembre 2018.
↑ Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel , Le Périgord des chartreuses , Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4 ) , p. 265
↑ Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord , éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat ), (ISBN 2-87624-125-0 ) , p. 101.
↑ [PDF] Zone des falaises calcaires de la vallée de la Vézère , INPN , consulté le 16 novembre 2018.
↑ Carte de la ZNIEFF 720020011 , INPN , consulté le 16 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1 .
↑ [PDF] Coteau des Eyzies et de Manaurie , INPN , consulté le 16 novembre 2018.
↑ Carte de la ZNIEFF 720008210 , INPN , consulté le 16 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1 .
↑ [PDF] FR7200667 - Coteaux calcaires de la vallée de la Vézère , DREAL Aquitaine, consulté le 16 novembre 2018.
↑ Carte de localisation des coteaux calcaires de la vallée de la Vézère , DREAL Aquitaine, consulté le 16 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN » .
↑ SCL0000684 - Site classé de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes , DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.
↑ Carte de localisation du site classé de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes , DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN » .
↑ [PDF] Décret de classement de trois sites , 11 décembre 2015, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.
↑ Vallée de la Vézère , DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.
↑ Carte de localisation du site inscrit de la vallée de la Vézère , DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN » .
↑ [PDF] Arrêté d'inscription du site de la vallée de la Vézère , 28 juillet 2016, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.