Ludwig der Zweite, König von Bayern

Ludwig der Zweite, König von Bayern

Réalisation Wilhelm Dieterle
Scénario Wilhelm Dieterle
Charlotte Hagenbruch (de)
Lajos Biró
Acteurs principaux

Wilhelm Dieterle

Sociétés de production Deutsche Universal-Film
Pays de production Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Genre Biographie
Durée 117 minutes
Sortie 1930

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Ludwig der Zweite, König von Bayern (en français, Louis II, roi de Bavière) est un film allemand réalisé par Wilhelm Dieterle sorti en 1930.

Synopsis

Après de premiers succès politiques, Louis II de Bavière dépense de plus en plus de façon extravagante. Il fait construire des châteaux qui correspondent à ses visions ambitieuses d'harmonie parfaite et d'art noble. En raison de ces dépenses énormes, le royaume de Bavière rencontre des difficultés financières de plus en plus catastrophiques. Bientôt, le peuple et toute la cour se retournent contre lui, y compris sa plus proche confidente, l'impératrice Élisabeth, et sa petite sœur, la princesse Sophie, s'éloignent de lui.

Isolé et poussé par le sentiment d'être incompris et de n'être entouré que d'ennemis et de petits esprits, le comportement de Louis prend progressivement des traits délirants. Le roi s'isole d'abord du monde extérieur, puis est mis sous curatelle. Finalement, alors qu'il est accompagné de son médecin Bernhard von Gudden, il meurt dans des circonstances inexpliquées dans le lac de Starnberg.

Fiche technique

Distribution

Production

Les réalisations en extérieur en Bavière ont lieu en et les enregistrements en studio dans le studio Ufa à Neubabelsberg de la mi- à . Le , le film passe son premier examen de cinéma ; de nombreux autres suivent. À la suite de plusieurs coupures, la longueur du film passe de 3 963 m à l'origine à 3 106 m. Le film est présenté en avant-première le au Titania-Palast à Berlin, tandis qu'en Bavière, après de nombreuses protestations, il est d'abord interdit de projection[1].

Notes et références

  1. (en) Close Up, vol. 6, Kraus Reprint, (lire en ligne), p. 419

Source de la traduction

Voir aussi

Liens externes