Louis Jean Marie Roubaud naît le à Marseille, où il étudie au lycée Thiers[2]. Il y enseigne ensuite[3]. Il décède le à Lyon. Il était le fils de l'avocat Marie Joseph Roubaud et de Marie Madelaine Bérengier, fille de l'architecte marseillais Pierre Marius Bérengier.
Publications
Le Rose et le Gris, 1912, Éditions Figuière.
Les Enfants de Caïn, 1925, Grasset.
Le Voleur et le Sphinx, 1926, Grasset.
Figures de danse, 1926, Les Éditions du Monde Moderne.
36 Quai des Orfèvres, 1927, Les Éditions de France.
Le dragon s'éveille, 1928, éditions Baudinière.
Au Pays des Mannequins, 1928, Les Éditions de France.
Music-Hall, 1929, Louis Querelle.
La Bourse, 1929, Grasset.
La chose judiciaire, 1930, Grasset.
Viet-Nam, la tragédie indochinoise, 1931, Librairie Valois.
Images et Réalités Coloniales, 1931, Éditions Tournon.
La Bourdonnais, 1932, Librairie Plon.
Christiane de Saïgon (Récit), 1932, Grasset.
Démons et Déments, 1933, N.R.F. Gallimard.
Baltique, Adriatique...Attention, 1933, La Baudinière.
Pays de Marseille, 1933, N.R.F. Gallimard.
La Prison de Velours, 1934, N.R.F. Gallimard.
Mograb, 1934, Grasset.
Rosy Carpin, Dactylo, 1934, Les Editions Exelsior.
J'avais peur, 1935, N.R.F. Gallimard.
Prostitution, Troublante Énigme, 1936, Les Éditions Roger Allou.
Empire ou Colonies ?, 1936, Plon.
Un homme nu dans une malle, 1938, Les Éditions de France.
La Croisade gammée, 1939, Les Éditions Denoël.
Le Crime des quatre Jeudis, 1945, La Technique du livre(livre publié à titre posthume).