Professeur à l'École vétérinaire d'Alfort, il est alors considéré comme l'un des fondateurs de la parasitologie moderne. C'est à lui que l'on doit le mot même de « parasitologie », qu'il emploie pour la première fois en 1886, dans un article du Recueil de médecine vétérinaire de l'école d'Alfort. Le terme a été rapidement repris et traduit dans toutes les langues pour désigner cette nouvelle science[2].
Son fils, le DrGeorges Railliet, est coauteur avec Marcel Cury d'ouvrages et d'articles de linguistique dont le Glossaire d'Archon, de Rozoy sur Serre et de Parfondeval.
Éléments de zoologie médicale et agricole, Asselin et Houzeau, Paris, 1885[6]
Notices helminthologiques, impr. de Vve Renou et Maulde, Paris, 1885[7].
"Une nouvelle affection parasitaire du lièvre et du lapin de garenne", Revue des sciences naturelles appliquées, no 8, .
"Les Parasites de nos animaux domestiques", in Revue des sciences naturelles appliquées, no 16, .
Parasites animaux : Les Parasites transmissibles des animaux à l'homme, envisagés spécialement au point de vue de la prophylaxie, A. Maulde, Paris, 1892[8].
Traité de zoologie médicale et agricole, Asselin et Houzeau, Paris, 1895[9]
Avec Léon Moulé, Histoire de l'École d'Alfort, Asselin et Houzeau, Paris, 1908[10].
Railliet A. et Henry A., 1909, « Sur la classification des Strongylidae. I. Metastrongylinae », Comptes rendus hebdomadaires des séances et mémoires de la Société de biologie, vol. 66, p. 85-88 (lire en ligne).