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Le dalaï-lama appartient à l'école Gelugpa, fondée par Tsongkhapa[1]. C'est Sonam Gyatso, 3e de la lignée, qui le premier reçut, du khanmongolAltan Khan, le titre de « dalaï-lama », qui s'appliqua rétroactivement à ses deux prédécesseurs. Il s'agit d'une combinaison de Dalaï, traduction en mongol du tibétaingyatso (« océan » [de sagesse]), et du terme tibétain honorifique lama, qui signifie gurû en sanskrit ou maître spirituel en français. Le nom Gyatso est en deuxième partie de chacun des noms, hormis le premier : en fait c'est le nom Gendun qui aurait dû être transmis à chaque génération[2].
Bernard Baudouin, Le grand livre des Dalaï-Lamas. Transmission du pouvoir spirituel dans le bouddhisme tibétain, éditions de Vecchi, 2004, 134 p. (ISBN2-7328-8185-6)
Roland Barraux, Histoire des Dalaï-Lamas. Quatorze reflets sur le Lac des Visions, Albin Michel, coll. « Espaces libres », 2002, 393 p. (ISBN2-226-13317-8)
Martin Brauen, Les Dalaï-Lamas. Les 14 réincarnations du bodhisattva Avalokiteshvara (2005), trad. de l'all. Jean-Daniel Pellet, Favre, 2005, 303 p.
Glenn H. Mullin, Les quatorze Dalaï-Lamas (2001), préface du 14e Dalaï-Lama, trad. Philippe Beaudoin, éditions du Rocher, 2004, 616 p.
Gilles Van Grasdorff, Paroles des Dalaï-Lamas (1996), trad. Vincent Dupont, Marabout, 1997, 275 p.