La dénomination est utilisée, au départ, pour désigner le groupe de journaux édités par la Socpresse Ouest auprès de la Socpresse, propriété de Dassault, racheté en 2005.
En 1992 la « Socpresse » par ailleurs éditeur du journal Le Figaro, propriété du Groupe Robert Hersant, reprend « Les Journaux de l'Ouest » qui deviennent une filiale à 100 %. La « Socpresse Ouest » est alors créée avec une diversification des activités du groupe notamment avec l'intégration de « Société d'Édition de la Résistance de la Presse de l'Ouest - SERPO » la société éditrice du titre Presse-Océan - L'Éclair en 1981 et de Vendée-Matin.
Le groupe Groupe Hersant se départ de la société mère des « Journaux de l'Ouest », la Socpresse, qui devient contrôlée à 100 % par « Dassault Communication ». Dassault Communication engage en 2005 l'éclatement du « pôle presse quotidienne régionale » de la Socpresse, sa filiale Socpresse Ouest avec un chiffre d'affaires de 80 millions d'euros était composée de :
En , c'est le Groupe SIPA - Ouest-France qui se porte acquéreur de la Socpresse Ouest pour 60 millions d'euros[5]. Le nouvel actionnaire procède à de nombreux changements. Ces restructurations concernant essentiellement le recentrage des activités de l'exercice de presse écrite et à des économies d'échelle, sa nouvelle filiale est rebaptisée « Les Journaux de Loire[6] ». Le titre Presse-Océan est recentré sur Nantes-Saint-Nazaire avec la fermeture des rédactions locales d’Ancenis et de Châteaubriant et du titre Vendée-Matin en 2006.