En 2016, il publie Cancer : un traitement simple et non toxique, l'ouvrage est préfacé par Luc Montagnier. Laurent Schwartz considère que le cancer est « dans 97 à 98 % des cas une maladie du vieillissement, métabolique, causée par une digestion inappropriée des sucres, et non génétique ». Il reprend ainsi le travail d'Otto Heinrich Warburg dans les années 1930[5]. Pour Laurent Schwartz, le cancer serait une maladie métabolique, alimenté par une défaillance de l’activité mitochondriale des cellules de l’organisme humain[6],[7].
En raison de ses pratiques plus que douteuses, il a été convoqué par le Conseil national de l'Ordre des médecins et est déréférencé sur le site internet de l'APHP, sachant qu'il n'était plus accessible depuis des années et qu'il n'avait ni vu ni soigné aucun patient.