La foresterie constitue la principale activité économique du secteur ; les activités récréotouristiques, en second[1],[2],[3].
La surface du lac Piraube est habituellement gelée de la mi-novembre à la mi-avril, toutefois la circulation sécuritaire sur la glace se fait généralement du début de décembre à la fin de mars.
Géographie
Les principaux bassins versants voisins du lac Perdu sont :
Le lac Piraube comporte une longueur de 14,8 km, une largeur de 3,8 km et une altitude de 523 m. Ce lac est entouré de plusieurs petites zones de marais.
L'embouchure du lac Piraube est localisé sur la rive Nord-Ouest, soit à :
5,8 km à l'Est de l'embouchure de la décharge du lac Piraube (confluence avec la rivière Mistassibi Nord-Est) ;
25,1 km au Sud-Ouest d'une baie d'un Sud du lac Onistagane ;
À partir de l’embouchure du lac Piraube, le courant descend sur 8,7 km vers le Nord-Ouest, puis le Sud-Ouest le cours de la décharge du lac ; sur 124,2 km vers le Sud, le cours de la rivière Mistassibi Nord-Est ; sur 99,2 km vers le Sud le cours de la rivière Mistassibi ; sur 23,3 km vers le Sud le cours de la rivière Mistassini ; traverse le lac Saint-Jean vers l’Est sur 44,0 km ; puis emprunte sur 155 km le cours de la rivière Saguenay vers l’Est jusqu'à la hauteur de Tadoussac où il conflue avec le fleuve Saint-Laurent[1].
Toponymie
Le toponyme « lac Piraube » évoque le souvenir de Martial Piraube, secrétaire de Charles Jacques Huault de Montmagny, deuxième gouverneur de la Nouvelle-France ; ces deux hommes sont arrivés ensemble en juin 1636 dans cette colonie française en Amérique. Piraube a également exercé comme notaire de 1626 à 1643. Piraube a aussi joué au théâtre à Québec (ville) dans une tragi-comédie pour souligner la fête du Dauphin qui deviendra le roi Louis XIV.