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La revue La Part de l'œil[1],[2] est créée en 1985 par Lucien Massaert[3] et Luc Richir[4], respectivement artiste et psychanalyste, tous deux enseignants à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles. Comme le précise Richir dans l'éditorial du premier volume, le titre La Part de l'œil est en lui-même un programme : est ici recherché ce qui se perd « d'une perception soi-disant pure pour instituer le sujet comme la réponse appelée par cette perte-même[5]».
La revue veut explorer et participer à « l'invention du discoursesthétiquecontemporain. Les méthodes que La Part de l'œil utilise s’inspirent de la psychanalyse, de la philosophie, de la sémiologie, de l’histoire de l’art comme de l’anthropologie, en associant un souci de rigueur à la conviction que la singularité des œuvres abordées exige à chaque fois de reconstruire les concepts et de remettre en jeu les certitudes »[6].
En 1996, les éditions La Part de l'œil créent en plus de la revue annuelle trois collections de livres : Théorie, Diptyque et Fiction, qui sont actuellement diffusées et distribuées par Pollen Diffusion.
Auteurs
La revue a accueilli les textes de nombreux chercheurs dont :
À sa création, le comité de rédaction était composé de Monique Alluin, Marie-Anne Geerinck, Jacques Lennep, Lucien Massaert, Georges Mayer, Luc Richir et Marie-Claire Roussel[7]. Puis au fil des années se sont ajoutés Murielle Gagnebin, Éliane Escoubas, Chakè Matossian, Aram Mekhitarian, Corinne Bonnetain, Luc Bachelot, Olivier Salazar-Ferrer. En 2017, le comité de rédaction était constitué de ces derniers et de Lucien Massaert, auxquels se sont ajoutés Dirk Dehouck et Bruno Goosse.
Revues
n° 1 - 1985. Dossier : Arts Plastiques et Psychanalyse ;
n° 2 - 1986. Dossier : Pensée des sciences, pensée des arts plastiques[8] ;
n° 3 - 1987. Dossier : Arts plastiques : questions au langage ;
n° 4 - 1988. Dossier : VOIR; les procès métonymiques de l'image ;
n° 5 - 1989. Dossier : Topologie de l'énonciation ;
n° 6 - 1990. Dossier : Le dessin ;
n° 7 - 1991. Dossier : Art et Phénoménologie ;
n° 8 - 1992. Dossier : Wittgenstein et l’esthétique[9];
n° 9 - 1993. Dossier : Arts plastiques et psychanalyse II ;
n° 10 - 1994. Dossier : Bataille et les arts plastiques ;
n° 11 - 1995. Dossier : Médecine et arts visuels ;
n° 12 - 1996. Dossier : L’art et le politique ;
n° 13 - 1997. Dossier : L’architecture et son lieu ;
n° 14 - 1998. Dossier : Hommage à Max Loreau ;
n° 15/16 - 1999/2000. Dossier : Problème de la Kunstwissenschaft ;
↑"Il est symptomatique qu’en France l’on veuille ignorer l’un des plus importants peintres français contemporains, peintre aussi important que Daniel Buren – Buren qui sait lui aussi ce qu’est la topologie des bandes – je veux parler de Christian Bonnefoi. Christian Bonnefoi, dont l’oeuvre et les écrits théoriques développent une logique uniface de la peinture." Lucien Massaert, in L’Image récalcitrante sous la direction de Muriel Gagnebin et Christine Savinel, Presses Sorbonne Nouvelle, 2001, p. 119.